Le Marché d'Obo, construit par la MINUSCA
Dès votre arrivée dans cette ville, vous êtes avertis d’emblée du coût élevé de la vie. C’est le cas avec Donatien Ndimgabaye Béraye, chef de section Affaires Civiles de la MINUSCA d’Obo qui a pris le soin de le mentionner dans son briefing avec les journalistes mandatés par la MINUSCA en visite de travail à Obo.
Pour avoir une idée du coût élevé à Obo, un litre d’essence coûte 6.000 F.CFA (880 à Bangui), un sac de ciment 40.000 F.Cfa (8.000 ou 9.000 à Bangui), une cuvette (GaouÏ) de manioc coûte entre 15.000 et 17. 000 F.Cfa (2.500 à Bangui), le savon Azur est vendu à 500F (150 à Bangui).
Pour le Curé de la paroisse Saint-Martyrs de l’Ouganda, l’Abbé Fabrice Yamozoungou, outre les raisons évoquées pour justifier ces hausses de prix, a mentionné la présence de nombreux ONG humanitaires dans la ville qui amène de la surenchère sur les prix des denrées de premières nécessités.
Aussi, avec la présence nuisible des éléments de l’UPC (Union pour la paix en Centrafrique) à Bambouti et les conséquences qui en découlent, notamment la probable fermeture des frontières avec le Sud Soudan et la crainte des habitants à pratiquer l'agriculture ou la chasse, le coût de vie risquerait d'être encore très élevé.
Il convient de rappeler que pour parvenir à la fin du mois, les fonctionnaires affectés à Obo sont obligés par la force des choses de verser dans les petits commerces pour subvenir à leurs besoins.
Pour avoir une idée du coût élevé à Obo, un litre d’essence coûte 6.000 F.CFA (880 à Bangui), un sac de ciment 40.000 F.Cfa (8.000 ou 9.000 à Bangui), une cuvette (GaouÏ) de manioc coûte entre 15.000 et 17. 000 F.Cfa (2.500 à Bangui), le savon Azur est vendu à 500F (150 à Bangui).
Pour le Curé de la paroisse Saint-Martyrs de l’Ouganda, l’Abbé Fabrice Yamozoungou, outre les raisons évoquées pour justifier ces hausses de prix, a mentionné la présence de nombreux ONG humanitaires dans la ville qui amène de la surenchère sur les prix des denrées de premières nécessités.
Aussi, avec la présence nuisible des éléments de l’UPC (Union pour la paix en Centrafrique) à Bambouti et les conséquences qui en découlent, notamment la probable fermeture des frontières avec le Sud Soudan et la crainte des habitants à pratiquer l'agriculture ou la chasse, le coût de vie risquerait d'être encore très élevé.
Il convient de rappeler que pour parvenir à la fin du mois, les fonctionnaires affectés à Obo sont obligés par la force des choses de verser dans les petits commerces pour subvenir à leurs besoins.