Joseph Inganji a indiqué que le niveau de financement du plan de réponse humanitaire ne permet pas aujourd’hui à la communauté humanitaire de couvrir tous les besoins identifiés pour les 1.9 millions de Centrafricains ciblés et dont les besoins ont augmenté suite à la recrudescence des conflits et de l’insécurité depuis fin 2016.
La situation humanitaire en Centrafrique au cours du dernier trimestre a été caractérisée par des besoins d’assistance humanitaire, des mouvements de population ainsi que la recrudescence de violences contre les acteurs humanitaires, a-t-il expliqué.
« De janvier à mi septembre, 25 véhicules appartenant à des organisations humanitaires ont été volés. Plus de 20 entrepôts et locaux d’organisations humanitaires ont été aussi pillés, ce qui a entrainé une suspension temporaire d’activités dans les zones d’intervention.», a-t-il poursuivi.
Il a par ailleurs rappelé que les populations civiles et les acteurs humanitaires doivent être respectés et protégés, les violations doivent être condamnées et les responsables poursuivis selon les obligations du droit international.
La situation humanitaire en Centrafrique au cours du dernier trimestre a été caractérisée par des besoins d’assistance humanitaire, des mouvements de population ainsi que la recrudescence de violences contre les acteurs humanitaires, a-t-il expliqué.
« De janvier à mi septembre, 25 véhicules appartenant à des organisations humanitaires ont été volés. Plus de 20 entrepôts et locaux d’organisations humanitaires ont été aussi pillés, ce qui a entrainé une suspension temporaire d’activités dans les zones d’intervention.», a-t-il poursuivi.
Il a par ailleurs rappelé que les populations civiles et les acteurs humanitaires doivent être respectés et protégés, les violations doivent être condamnées et les responsables poursuivis selon les obligations du droit international.