C'est ce qui ressort de la déclaration finale publiée à l'issue de la réunion, qui s'est tenue mercredi au siège du Secrétariat général de l'OCI à Djeddah, en présence des chefs de délégation des membres du Comité exécutif et des États membres de l'OCI, pour discuter des crimes continus de l'occupation israélienne contre le peuple palestinien et de leur agression contre la souveraineté de la République islamique d'Iran.
La réunion a appelé à la cessation immédiate de l'agression israélienne et de la politique d'abus, de famine et de châtiment collectif pratiquée contre le peuple palestinien, soulignant son rejet catégorique et faisant face par tous les moyens à toute tentative de déplacer, d'expulser ou de transférer de force le peuple palestinien de sa terre.
La Réunion a fermement condamné l'assassinat d'Ismail Haniyeh, ancien Premier Ministre palestinien, alors qu'il se trouvait dans la capitale iranienne, Téhéran, tenant Israël pleinement responsable de cette attaque odieuse, qui constitue un crime d'agression, une violation flagrante du droit international et de la Charte des Nations Unies et une grave atteinte à la souveraineté, à l'intégrité territoriale et à la sécurité nationale de la République islamique d'Iran.
La réunion a averti que la poursuite des crimes d'Israël sape la sécurité et la stabilité dans la région, appelant à une intervention immédiate et efficace du Conseil de sécurité de l'ONU dans le cadre de ses responsabilités dans le maintien de la paix et de la sécurité internationales.
La réunion du Comité exécutif a réaffirmé le caractère central de la cause de la Palestine et d'Al Qods Al Charif pour l'ensemble de la Oumma islamique, et la nécessité de préserver l'identité arabe et islamique de la ville d'Al Qods Al Charif et la souveraineté palestinienne sur celle-ci en tant que partie intégrante du territoire palestinien occupé depuis 1967 et capitale de l'État de Palestine.
Il a également souligné la nécessité de respecter le statu quo juridique et historique dans les lieux saints, en particulier la mosquée bénie Al-Aqsa/Al-Haram Al-Sharif, avec sa superficie totale de 144 000 mètres carrés, en tant que lieu de culte réservé aux musulmans.
Il a mis en garde contre l'escalade de la colonisation israélienne, la menace d'annexion du territoire palestinien occupé et les attaques et crimes quotidiens commis par l'armée d'occupation israélienne et les milices terroristes en Cisjordanie, y compris dans la ville occupée de Jérusalem, contre les citoyens palestiniens non armés, leurs biens, leurs terres et leurs lieux saints, dans le but de les déplacer de force.
À cet égard, le Comité exécutif a réaffirmé l'avis juridique sur l'illégalité des colonies dans le territoire palestinien et la nécessité de mettre fin à l'occupation, de démanteler toutes les colonies et d'évacuer tous les colons, appelant à la nécessité de prendre les mesures nécessaires pour amener les colons à répondre de leurs crimes, y compris en leur infligeant des peines, en les inscrivant sur des listes terroristes et en les poursuivant.
La réunion a exprimé sa profonde préoccupation face à la poursuite et à l'intensification par Israël de ses crimes brutaux et de ses violations sans précédent contre des milliers de prisonniers palestiniens par la pratique des exécutions, de la torture, de la famine, du viol, de l'isolement et des disparitions forcées, en particulier contre les détenus de la bande de Gaza, qui ont conduit au martyre de dizaines d'entre eux.
Il a appelé les organisations internationales compétentes, y compris le Comité international de la Croix-Rouge, à révéler le sort des prisonniers palestiniens, à œuvrer pour leur libération immédiate, à assurer leur protection et à exiger une enquête indépendante sur tous les crimes et violations commis par Israël à leur encontre.
À cet égard, la réunion a pris note du rapport de la Haut-Commissaire aux droits de l'homme sur les crimes de l'occupation contre les prisonniers et l'augmentation systématique des cas de détention arbitraire poursuivis par les forces d'occupation israéliennes depuis le 7 octobre 2023, soulignant qu'Israël, puissance occupante illégale, doit traiter les prisonniers palestiniens conformément au droit international humanitaire, aux conventions internationales et aux règles pertinentes des Nations Unies.
La réunion a fermement condamné l'adoption par Israël, puissance occupante illégale, de lois racistes illégales, y compris la décision de rejeter la création d'un État palestinien et la désignation de l'UNRWA en tant qu'organisation terroriste, dans le cadre des tentatives visant à saper son rôle et à l'empêcher d'opérer dans le territoire palestinien occupé dans le cadre de son ciblage de la question des réfugiés palestiniens et de la présence palestinienne, ainsi que la décision de « légitimer » les avant-postes et de pirater les fonds fiscaux palestiniens.
Il réitère l'avis juridique de la Cour internationale de Justice selon lequel la puissance occupante n'a pas de souveraineté sur le territoire palestinien occupé en 1967 et que le droit à l'autodétermination du peuple palestinien affirme la géographie de son droit et de son droit à un État indépendant, et demande à la communauté internationale d'intervenir de manière décisive pour faire face à ces mesures illégales prises par Israël et y mettre fin.
La réunion extraordinaire du Comité exécutif a appelé le Conseil de sécurité de l'ONU à assumer ses responsabilités pour imposer une cessation immédiate et complète de l'agression israélienne contre le peuple palestinien, garantir un accès humanitaire adéquat et durable à toutes les parties de la bande de Gaza, mettre en œuvre les résolutions 2720 et 2728 et fournir une protection internationale au peuple palestinien.
Il demande à tous les États de prendre les mesures nécessaires pour empêcher Israël, puissance occupante illégale, de poursuivre ses crimes contre le peuple palestinien et d'assurer le respect et l'application des résolutions pertinentes de l'Organisation des Nations Unies ainsi que des ordonnances de précaution rendues par la Cour internationale de Justice sur le crime de génocide.
Il a également appelé tous les États membres de l'OCI à faire preuve de solidarité face au comportement anarchique commis par la puissance occupante israélienne, qui étend le conflit dans la région et met en danger la paix et la sécurité régionales, en prenant les mesures diplomatiques, juridiques et politiques nécessaires pour inverser le cours de l'escalade dans la région et rechercher une voie vers la paix et la stabilité régionales et internationales.
Il a mis en garde contre les incursions continues dans la mosquée bénie Al-Aqsa/Al-Haram Al-Sharif, en particulier celles menées par le ministre israélien de la Sécurité nationale, qui représentent une mesure provocatrice condamnée dans les termes les plus forts et représente une violation flagrante et inacceptable du droit international et du statu quo historique et juridique à Jérusalem et ses lieux saints, ainsi qu'une escalade dangereuse.
La réunion a exhorté la communauté internationale, y compris le Conseil de sécurité, à agir immédiatement pour mettre fin à cette escalade par des mesures efficaces qui contraindraient Israël, puissance occupante, à mettre fin à ses attaques contre le peuple palestinien et à ses violations du droit international et du droit international humanitaire, et à ne pas prendre de mesures provocatrices à Al Qods Al Charif qui porteraient atteinte aux sentiments de deux milliards de musulmans dans le monde et menaceraient la sécurité et la stabilité dans la région, soulignant qu'Israël n'a aucune souveraineté sur Jérusalem et les lieux saints, et que Jérusalem-Est est un territoire palestinien occupé.
Il a demandé à tous les États de s'acquitter des responsabilités qui leur incombent en vertu du droit international et des buts et principes de la Charte et des résolutions de l'Organisation des Nations Unies, et de ne fournir à Israël, puissance occupante, aucune forme d'assistance, de coopération ou d'appui, qui contribuerait à prolonger l'occupation illégale du territoire palestinien par Israël, à lui accorder l'impunité et à l'encourager à continuer de commettre ses crimes et ses violations flagrantes du droit international et des résolutions pertinentes de l'ONU.
La Réunion a affirmé qu'elle appuyait les efforts visant à amener Israël, puissance occupante illégale, à répondre des violations et des crimes qu'il continue de commettre contre le peuple palestinien, se félicitant à cet égard de l'avis consultatif rendu récemment par la Cour internationale de Justice confirmant l'illégalité de l'existence d'« Israël » dans le territoire palestinien occupé et dans son pays de peuplement.
À cet égard, il a également demandé que des mesures soient prises pour mettre fin dès que possible à la présence illégale de l'occupation israélienne dans le territoire palestinien occupé, et a demandé à la Cour pénale internationale d'achever rapidement l'enquête sur les crimes de guerre et les crimes contre l'humanité commis par des responsables du gouvernement d'occupation coloniale israélienne contre le peuple palestinien sans défense et de traduire ces criminels devant la justice internationale.
La réunion extraordinaire du Comité exécutif a fermement condamné les mesures illégales prises par l'occupation israélienne pour saper le statut et le rôle de l'Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA) en prenant pour cible ses installations et son personnel et en tentant de le priver des immunités et privilèges qui lui étaient accordés.
Il a réaffirmé le mandat confié à l'Office par l'Organisation des Nations Unies et la nécessité de poursuivre son rôle et ses responsabilités, qui représentent une priorité absolue sur les plans politique, humanitaire et humanitaire, et constituent un élément de stabilité dans la région, et demande que l'Office fournisse un appui permanent pour lui permettre de continuer à fournir des services de base aux réfugiés palestiniens, en particulier à la lumière de l'aggravation et de l'asphyxie de la crise humanitaire dans la bande de Gaza.
Il a souligné qu'il importait de poursuivre les efforts entrepris par le Groupe ministériel conjoint arabo-islamique, présidé par l'Arabie saoudite, sur la scène internationale dans le but de mettre fin à l'agression brutale d'Israël contre le peuple palestinien, de donner suite à l'application de l'avis juridique de la Cour internationale de Justice sur l'illégalité de l'occupation israélienne, de mobiliser une plus grande reconnaissance de l'État de Palestine et de son adhésion à part entière à l'Organisation des Nations Unies, de convoquer une conférence de paix internationale et de mettre en œuvre la solution à deux États, mettant ainsi fin à l'occupation israélienne et conduisant à l'indépendance de l'État de Palestine à la frontière du 4 juin 1967 avec Jérusalem pour capitale. Sharif, sur la base des résolutions pertinentes des Nations Unies.
La réunion a appelé à la cessation immédiate de l'agression israélienne et de la politique d'abus, de famine et de châtiment collectif pratiquée contre le peuple palestinien, soulignant son rejet catégorique et faisant face par tous les moyens à toute tentative de déplacer, d'expulser ou de transférer de force le peuple palestinien de sa terre.
La Réunion a fermement condamné l'assassinat d'Ismail Haniyeh, ancien Premier Ministre palestinien, alors qu'il se trouvait dans la capitale iranienne, Téhéran, tenant Israël pleinement responsable de cette attaque odieuse, qui constitue un crime d'agression, une violation flagrante du droit international et de la Charte des Nations Unies et une grave atteinte à la souveraineté, à l'intégrité territoriale et à la sécurité nationale de la République islamique d'Iran.
La réunion a averti que la poursuite des crimes d'Israël sape la sécurité et la stabilité dans la région, appelant à une intervention immédiate et efficace du Conseil de sécurité de l'ONU dans le cadre de ses responsabilités dans le maintien de la paix et de la sécurité internationales.
La réunion du Comité exécutif a réaffirmé le caractère central de la cause de la Palestine et d'Al Qods Al Charif pour l'ensemble de la Oumma islamique, et la nécessité de préserver l'identité arabe et islamique de la ville d'Al Qods Al Charif et la souveraineté palestinienne sur celle-ci en tant que partie intégrante du territoire palestinien occupé depuis 1967 et capitale de l'État de Palestine.
Il a également souligné la nécessité de respecter le statu quo juridique et historique dans les lieux saints, en particulier la mosquée bénie Al-Aqsa/Al-Haram Al-Sharif, avec sa superficie totale de 144 000 mètres carrés, en tant que lieu de culte réservé aux musulmans.
Il a mis en garde contre l'escalade de la colonisation israélienne, la menace d'annexion du territoire palestinien occupé et les attaques et crimes quotidiens commis par l'armée d'occupation israélienne et les milices terroristes en Cisjordanie, y compris dans la ville occupée de Jérusalem, contre les citoyens palestiniens non armés, leurs biens, leurs terres et leurs lieux saints, dans le but de les déplacer de force.
À cet égard, le Comité exécutif a réaffirmé l'avis juridique sur l'illégalité des colonies dans le territoire palestinien et la nécessité de mettre fin à l'occupation, de démanteler toutes les colonies et d'évacuer tous les colons, appelant à la nécessité de prendre les mesures nécessaires pour amener les colons à répondre de leurs crimes, y compris en leur infligeant des peines, en les inscrivant sur des listes terroristes et en les poursuivant.
La réunion a exprimé sa profonde préoccupation face à la poursuite et à l'intensification par Israël de ses crimes brutaux et de ses violations sans précédent contre des milliers de prisonniers palestiniens par la pratique des exécutions, de la torture, de la famine, du viol, de l'isolement et des disparitions forcées, en particulier contre les détenus de la bande de Gaza, qui ont conduit au martyre de dizaines d'entre eux.
Il a appelé les organisations internationales compétentes, y compris le Comité international de la Croix-Rouge, à révéler le sort des prisonniers palestiniens, à œuvrer pour leur libération immédiate, à assurer leur protection et à exiger une enquête indépendante sur tous les crimes et violations commis par Israël à leur encontre.
À cet égard, la réunion a pris note du rapport de la Haut-Commissaire aux droits de l'homme sur les crimes de l'occupation contre les prisonniers et l'augmentation systématique des cas de détention arbitraire poursuivis par les forces d'occupation israéliennes depuis le 7 octobre 2023, soulignant qu'Israël, puissance occupante illégale, doit traiter les prisonniers palestiniens conformément au droit international humanitaire, aux conventions internationales et aux règles pertinentes des Nations Unies.
La réunion a fermement condamné l'adoption par Israël, puissance occupante illégale, de lois racistes illégales, y compris la décision de rejeter la création d'un État palestinien et la désignation de l'UNRWA en tant qu'organisation terroriste, dans le cadre des tentatives visant à saper son rôle et à l'empêcher d'opérer dans le territoire palestinien occupé dans le cadre de son ciblage de la question des réfugiés palestiniens et de la présence palestinienne, ainsi que la décision de « légitimer » les avant-postes et de pirater les fonds fiscaux palestiniens.
Il réitère l'avis juridique de la Cour internationale de Justice selon lequel la puissance occupante n'a pas de souveraineté sur le territoire palestinien occupé en 1967 et que le droit à l'autodétermination du peuple palestinien affirme la géographie de son droit et de son droit à un État indépendant, et demande à la communauté internationale d'intervenir de manière décisive pour faire face à ces mesures illégales prises par Israël et y mettre fin.
La réunion extraordinaire du Comité exécutif a appelé le Conseil de sécurité de l'ONU à assumer ses responsabilités pour imposer une cessation immédiate et complète de l'agression israélienne contre le peuple palestinien, garantir un accès humanitaire adéquat et durable à toutes les parties de la bande de Gaza, mettre en œuvre les résolutions 2720 et 2728 et fournir une protection internationale au peuple palestinien.
Il demande à tous les États de prendre les mesures nécessaires pour empêcher Israël, puissance occupante illégale, de poursuivre ses crimes contre le peuple palestinien et d'assurer le respect et l'application des résolutions pertinentes de l'Organisation des Nations Unies ainsi que des ordonnances de précaution rendues par la Cour internationale de Justice sur le crime de génocide.
Il a également appelé tous les États membres de l'OCI à faire preuve de solidarité face au comportement anarchique commis par la puissance occupante israélienne, qui étend le conflit dans la région et met en danger la paix et la sécurité régionales, en prenant les mesures diplomatiques, juridiques et politiques nécessaires pour inverser le cours de l'escalade dans la région et rechercher une voie vers la paix et la stabilité régionales et internationales.
Il a mis en garde contre les incursions continues dans la mosquée bénie Al-Aqsa/Al-Haram Al-Sharif, en particulier celles menées par le ministre israélien de la Sécurité nationale, qui représentent une mesure provocatrice condamnée dans les termes les plus forts et représente une violation flagrante et inacceptable du droit international et du statu quo historique et juridique à Jérusalem et ses lieux saints, ainsi qu'une escalade dangereuse.
La réunion a exhorté la communauté internationale, y compris le Conseil de sécurité, à agir immédiatement pour mettre fin à cette escalade par des mesures efficaces qui contraindraient Israël, puissance occupante, à mettre fin à ses attaques contre le peuple palestinien et à ses violations du droit international et du droit international humanitaire, et à ne pas prendre de mesures provocatrices à Al Qods Al Charif qui porteraient atteinte aux sentiments de deux milliards de musulmans dans le monde et menaceraient la sécurité et la stabilité dans la région, soulignant qu'Israël n'a aucune souveraineté sur Jérusalem et les lieux saints, et que Jérusalem-Est est un territoire palestinien occupé.
Il a demandé à tous les États de s'acquitter des responsabilités qui leur incombent en vertu du droit international et des buts et principes de la Charte et des résolutions de l'Organisation des Nations Unies, et de ne fournir à Israël, puissance occupante, aucune forme d'assistance, de coopération ou d'appui, qui contribuerait à prolonger l'occupation illégale du territoire palestinien par Israël, à lui accorder l'impunité et à l'encourager à continuer de commettre ses crimes et ses violations flagrantes du droit international et des résolutions pertinentes de l'ONU.
La Réunion a affirmé qu'elle appuyait les efforts visant à amener Israël, puissance occupante illégale, à répondre des violations et des crimes qu'il continue de commettre contre le peuple palestinien, se félicitant à cet égard de l'avis consultatif rendu récemment par la Cour internationale de Justice confirmant l'illégalité de l'existence d'« Israël » dans le territoire palestinien occupé et dans son pays de peuplement.
À cet égard, il a également demandé que des mesures soient prises pour mettre fin dès que possible à la présence illégale de l'occupation israélienne dans le territoire palestinien occupé, et a demandé à la Cour pénale internationale d'achever rapidement l'enquête sur les crimes de guerre et les crimes contre l'humanité commis par des responsables du gouvernement d'occupation coloniale israélienne contre le peuple palestinien sans défense et de traduire ces criminels devant la justice internationale.
La réunion extraordinaire du Comité exécutif a fermement condamné les mesures illégales prises par l'occupation israélienne pour saper le statut et le rôle de l'Office de secours et de travaux des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNRWA) en prenant pour cible ses installations et son personnel et en tentant de le priver des immunités et privilèges qui lui étaient accordés.
Il a réaffirmé le mandat confié à l'Office par l'Organisation des Nations Unies et la nécessité de poursuivre son rôle et ses responsabilités, qui représentent une priorité absolue sur les plans politique, humanitaire et humanitaire, et constituent un élément de stabilité dans la région, et demande que l'Office fournisse un appui permanent pour lui permettre de continuer à fournir des services de base aux réfugiés palestiniens, en particulier à la lumière de l'aggravation et de l'asphyxie de la crise humanitaire dans la bande de Gaza.
Il a souligné qu'il importait de poursuivre les efforts entrepris par le Groupe ministériel conjoint arabo-islamique, présidé par l'Arabie saoudite, sur la scène internationale dans le but de mettre fin à l'agression brutale d'Israël contre le peuple palestinien, de donner suite à l'application de l'avis juridique de la Cour internationale de Justice sur l'illégalité de l'occupation israélienne, de mobiliser une plus grande reconnaissance de l'État de Palestine et de son adhésion à part entière à l'Organisation des Nations Unies, de convoquer une conférence de paix internationale et de mettre en œuvre la solution à deux États, mettant ainsi fin à l'occupation israélienne et conduisant à l'indépendance de l'État de Palestine à la frontière du 4 juin 1967 avec Jérusalem pour capitale. Sharif, sur la base des résolutions pertinentes des Nations Unies.