L'objectif de cette session est de valider le plan d'action et le budget du PEAC relatif à l'année dernière et également fixer des objectifs pour l'année 2017, qu'il s'agisse d'objectifs techniques, financiers ou budgétaires ainsi que d'examiner les projets intégrateurs bénéfiques pour les populations de la sous-région.
La demande en électricité en Afrique centrale est croissante, mais les pays n'arrivent pas à combler ces besoins faute de moyens, a expliqué Joël Nana Kontchou, pour qui les pays membres du PEAC peuvent donc entrer dans la phase active du développement de l'électricité, avec des projets simples entre les Etats.
Les projets qui intéressent immédiatement la République Centrafricaine sont ceux de Dimoli, capables de couvrir l'est du Cameroun et Béloko, à l'ouest de la RCA, le barrage de Mobaye, qui peut alimenter Mobaye Bongo en RDC et Mobaye-RCA, et le Barrage de Inga, capable de couvrir trois pays, à savoir le Cameroun, le Congo et la République Centrafricaine.
Il s'est réjoui de ce que les réunions du PEAC aient intégré celles des investisseurs, qui sont capables de financer des projets bancables.
Le Directeur général de l'Energie Centrafricaine (ENERCA), Thierry Patient Bendima, a déploré les contradictions entre les productions électriques insuffisantes et les immenses potentialités dont disposent les pays de l'Afrique centrale. Il a cité les opportunités de l'hydroélectricité, l'énergie solaire, l'énergie éolienne, le gaz, et l'énergie thermique qui sont des sources non négligeables pour fournir de l'électricité tant pour les citoyens que pour le développement industriel.
Il faut noter que la session du PEAC, lancée le 27 février avec la réunion des experts, prendra fin le 6 mars prochain, avec la rencontre des Ministres en charge de l'énergie des pays membres.
Ces pays membres sont : l’Angola, le Burundi, le Cameroun, le Congo, le Gabon, la Guinée Équatoriale, la RD. Congo, le Rwanda, Sao Tomé et Principe, le Tchad, et la République Centrafricaine.
La demande en électricité en Afrique centrale est croissante, mais les pays n'arrivent pas à combler ces besoins faute de moyens, a expliqué Joël Nana Kontchou, pour qui les pays membres du PEAC peuvent donc entrer dans la phase active du développement de l'électricité, avec des projets simples entre les Etats.
Les projets qui intéressent immédiatement la République Centrafricaine sont ceux de Dimoli, capables de couvrir l'est du Cameroun et Béloko, à l'ouest de la RCA, le barrage de Mobaye, qui peut alimenter Mobaye Bongo en RDC et Mobaye-RCA, et le Barrage de Inga, capable de couvrir trois pays, à savoir le Cameroun, le Congo et la République Centrafricaine.
Il s'est réjoui de ce que les réunions du PEAC aient intégré celles des investisseurs, qui sont capables de financer des projets bancables.
Le Directeur général de l'Energie Centrafricaine (ENERCA), Thierry Patient Bendima, a déploré les contradictions entre les productions électriques insuffisantes et les immenses potentialités dont disposent les pays de l'Afrique centrale. Il a cité les opportunités de l'hydroélectricité, l'énergie solaire, l'énergie éolienne, le gaz, et l'énergie thermique qui sont des sources non négligeables pour fournir de l'électricité tant pour les citoyens que pour le développement industriel.
Il faut noter que la session du PEAC, lancée le 27 février avec la réunion des experts, prendra fin le 6 mars prochain, avec la rencontre des Ministres en charge de l'énergie des pays membres.
Ces pays membres sont : l’Angola, le Burundi, le Cameroun, le Congo, le Gabon, la Guinée Équatoriale, la RD. Congo, le Rwanda, Sao Tomé et Principe, le Tchad, et la République Centrafricaine.