L’organisation de cette formation par apprentissage a pour but de jeter les bases véritables d’une politique de formation professionnelle.
Monsieur Pierrot Yolé a fait remarquer que dans le contexte actuel de la Centrafrique caractérisé par les crises à répétitions et l’insécurité, les jeunes désœuvrés et déscolarisés ont le sentiment d’être abandonné. Le développement de l’apprentissage devient donc une priorité pour le pouvoir public avec un objectif : l’amélioration des initiatives des professionnelles source de la cohésion sociale.
Sur un total de 92 inscrits au départ, 58 jeunes désœuvrés et déscolarisés dont 3 filles ont subi une formation de six mois dans les différentes filières suivantes : bijouterie, vannerie, installation des antennes paraboliques et des chaines des télévisions, électricité auto, mécanique auto, menuiserie, soudure et tôlerie , rembobinage, fonderie sérigraphie et peinture.
Pour le Directeur général de l’Agence Centrafricaine de Formation Professionnelle et de l’Emploi (ACFPE), Jean Pierre Douzima, c’est la première fois dans l’histoire de notre pays que l’ ACFPE s’associe aux artisans locaux pour créer des unités de formation par apprentissage en vue de permettre à des jeunes centrafricains de Bangui et de l’intérieur du pays d’apprendre un métier.
En outre, M. Jean Pierre Douzima a sollicité l’appui du gouvernement et les partenaires au développement à aider l’ACFPE en vue d’atteindre son objectif qui consiste à assurer la formation de 50 milles jeunes désœuvrés et déscolarisés sur toute l’étendue du territoire.
Monsieur Pierrot Yolé a fait remarquer que dans le contexte actuel de la Centrafrique caractérisé par les crises à répétitions et l’insécurité, les jeunes désœuvrés et déscolarisés ont le sentiment d’être abandonné. Le développement de l’apprentissage devient donc une priorité pour le pouvoir public avec un objectif : l’amélioration des initiatives des professionnelles source de la cohésion sociale.
Sur un total de 92 inscrits au départ, 58 jeunes désœuvrés et déscolarisés dont 3 filles ont subi une formation de six mois dans les différentes filières suivantes : bijouterie, vannerie, installation des antennes paraboliques et des chaines des télévisions, électricité auto, mécanique auto, menuiserie, soudure et tôlerie , rembobinage, fonderie sérigraphie et peinture.
Pour le Directeur général de l’Agence Centrafricaine de Formation Professionnelle et de l’Emploi (ACFPE), Jean Pierre Douzima, c’est la première fois dans l’histoire de notre pays que l’ ACFPE s’associe aux artisans locaux pour créer des unités de formation par apprentissage en vue de permettre à des jeunes centrafricains de Bangui et de l’intérieur du pays d’apprendre un métier.
En outre, M. Jean Pierre Douzima a sollicité l’appui du gouvernement et les partenaires au développement à aider l’ACFPE en vue d’atteindre son objectif qui consiste à assurer la formation de 50 milles jeunes désœuvrés et déscolarisés sur toute l’étendue du territoire.