Cependant, le diplomate, camerounais a indiqué que son pays « tient fermement à la cohabitation pacifique avec ses voisins dont la République Centrafricaine ».
Le Ministre centrafricain des Affaires étrangères, Antoine Gambi, a souligné que « le Cameroun et la République Centrafricaine sont condamnés à vivre ensemble en se serrant les coudes, en partageant leurs expériences, en comblant les lacunes des uns par les richesses des autres dans ce monde où l’isolationnisme n’est plus de mise ».
Il a ajouté que, le Cameroun et la République Centrafricaine viennent de signer neuf accords, dont certains concernent l’énergie et l’eau, les petites et moyennes entreprises ainsi que l’artisanat, la coopération en matière de jeunesse, la coopération culturelle pour la période 2010-2013.
La célébration de cette année est placée sous le thème suivant : « armée camerounaise, creuset de l’unité nationale, socle des institutions stables et démocratiques, garante du développement socioéconomique ».
Il est à rappeler que la fête nationale du Cameroun est née de ce que le territoire était initialement une colonie allemande placée sous la tutelle française et anglaise par la Société des Nations à la fin de la Première Guerre mondiale puis par l’Organisation des Nations Unies à l’issue de la Deuxième Guerre mondiale.
La partie francophone du Cameroun a accédé à l’indépendance le 1er janvier 1960, suivie de celle de la partie anglophone le 1er octobre 1961. Il en a résulté la constitution d’un Etat fédéral.
Clément Ayafor Konwufine a expliqué que, pour « parvenir à l’unité nationale et diminuer le coût de fonctionnement des Etats fédérés et l’Etat fédéral, les autorités camerounaises d’alors ont décidé d’organiser un référendum le 20 mai 1972, qui a consacré l’unification du pays et a fait de cette date mémorable la fête nationale du Cameroun ».
La célébration de la fête nationale du Cameroun à Bangui a été différé en raison des obsèques de l’ancien président Ange Félix Patassé.
Le Ministre centrafricain des Affaires étrangères, Antoine Gambi, a souligné que « le Cameroun et la République Centrafricaine sont condamnés à vivre ensemble en se serrant les coudes, en partageant leurs expériences, en comblant les lacunes des uns par les richesses des autres dans ce monde où l’isolationnisme n’est plus de mise ».
Il a ajouté que, le Cameroun et la République Centrafricaine viennent de signer neuf accords, dont certains concernent l’énergie et l’eau, les petites et moyennes entreprises ainsi que l’artisanat, la coopération en matière de jeunesse, la coopération culturelle pour la période 2010-2013.
La célébration de cette année est placée sous le thème suivant : « armée camerounaise, creuset de l’unité nationale, socle des institutions stables et démocratiques, garante du développement socioéconomique ».
Il est à rappeler que la fête nationale du Cameroun est née de ce que le territoire était initialement une colonie allemande placée sous la tutelle française et anglaise par la Société des Nations à la fin de la Première Guerre mondiale puis par l’Organisation des Nations Unies à l’issue de la Deuxième Guerre mondiale.
La partie francophone du Cameroun a accédé à l’indépendance le 1er janvier 1960, suivie de celle de la partie anglophone le 1er octobre 1961. Il en a résulté la constitution d’un Etat fédéral.
Clément Ayafor Konwufine a expliqué que, pour « parvenir à l’unité nationale et diminuer le coût de fonctionnement des Etats fédérés et l’Etat fédéral, les autorités camerounaises d’alors ont décidé d’organiser un référendum le 20 mai 1972, qui a consacré l’unification du pays et a fait de cette date mémorable la fête nationale du Cameroun ».
La célébration de la fête nationale du Cameroun à Bangui a été différé en raison des obsèques de l’ancien président Ange Félix Patassé.