La chef de délégation du CICR pendant sa présentation
Le but est de présenter le bilan des activités réalisées par le CICR en 2018 et les perspectives d’avenir.
« 11000 semences alimentaires ont été distribués ; presque 500000 personnes ont accès à l’eau potable ; 600 messages Croix-Rouge ont été envoyés ; 27 enfants non accompagnés réunifiés ; plus 5300 porteurs d’arme centrafricains (FACA, FSI, groupes armés) et étrangers (Minusca) ont été sensibilisés au Droit International Humanitaire(DIH), au mandat du CICR et à la protection médicale… », a indiqué Valérie Petitpierre.
En ce qui concerne les perspectives d’avenir, la cheffe de délégation a fait savoir que cela s’inscrit dans la continuité des activités de 2018 mais également l’implantation d’une sous délégation CICR à Bouar (452 km au nord-ouest de Bangui).
« La population civile, le personnel du CICR ainsi que tous les autres acteurs humanitaires doivent être protégés », a-t-elle conclu.
Cet échange intervient à un moment ou le déferlement de la violence surgi au centre du pays notamment à Bambari et aux alentours.
Le CICR est une organisation humanitaire,neutre et indépendante, avec exclusivement pour mission de protéger la vie et la dignité des victimes de conflits armés et de la violence et de porter assistance.
Le CICR est actif en RCA depuis 1983 avec une présence permanente à partir de 2007 et il travaille en collaboration avec la Croix-Rouge Centrafricaine.