La Présidente du CIAF Centrafrique, Marguerite a rappelé que les mutilations génitales féminines et le mariage précoce constituent des pratiques coutumières préjudiciables à la santé d’une femme.
Pour elle, les mariages précoces sont une violation des droits fondamentaux de l’Enfant. Cette pratique prive de leur enfance les jeunes filles qui n’ont ni maturité ni le discernement suffisant pour accepter et comprendre un tel engagement.
« Ces mariages ont des conséquences graves sur la santé des jeunes filles qui ne sont pas psychologiquement préparés et ne comprennent pas toutes les obligations et les conséquences qui peuvent découler de cette pratique, notamment les accouchements pénibles pour la mère », a-t-elle insisté.
Marguerite Ramadan a relevé qu’il y a un lien étroit entre les mutilations génitales féminines (MGF) et les mariages précoces dans de nombreuses communautés en Afrique où le mariage survient peu après la MGF.
« Ces deux pratiques sont utilisées comme moyen pour préserver la pureté sexuelle chez les jeunes filles quand l’une des deux se termine, l’autre persiste, ce qui entrave les efforts visant à protéger les filles contre ces pratiques néfastes », a-t-elle expliqué.
Aavec l’appui du Fonds des Nations-Unies pour la Population (UNFPA) la République Centrafricaine s’est engagée dans l’opérationnalisation de la campagne de l’Union Africaine contre les violences faites aux femmes pour mettre fin aux mariages des jeunes filles et l’application de la Résolution 67/146 relative à la mutilation génitale féminine.
Il faut rappeler que, la loi n° 06.032 portant protection de la femme contre les violences en République Centrafricaine a été ratifiée le 15 décembre 2006.
Pour elle, les mariages précoces sont une violation des droits fondamentaux de l’Enfant. Cette pratique prive de leur enfance les jeunes filles qui n’ont ni maturité ni le discernement suffisant pour accepter et comprendre un tel engagement.
« Ces mariages ont des conséquences graves sur la santé des jeunes filles qui ne sont pas psychologiquement préparés et ne comprennent pas toutes les obligations et les conséquences qui peuvent découler de cette pratique, notamment les accouchements pénibles pour la mère », a-t-elle insisté.
Marguerite Ramadan a relevé qu’il y a un lien étroit entre les mutilations génitales féminines (MGF) et les mariages précoces dans de nombreuses communautés en Afrique où le mariage survient peu après la MGF.
« Ces deux pratiques sont utilisées comme moyen pour préserver la pureté sexuelle chez les jeunes filles quand l’une des deux se termine, l’autre persiste, ce qui entrave les efforts visant à protéger les filles contre ces pratiques néfastes », a-t-elle expliqué.
Aavec l’appui du Fonds des Nations-Unies pour la Population (UNFPA) la République Centrafricaine s’est engagée dans l’opérationnalisation de la campagne de l’Union Africaine contre les violences faites aux femmes pour mettre fin aux mariages des jeunes filles et l’application de la Résolution 67/146 relative à la mutilation génitale féminine.
Il faut rappeler que, la loi n° 06.032 portant protection de la femme contre les violences en République Centrafricaine a été ratifiée le 15 décembre 2006.