L’objectif de cette cérémonie est de lutter contre le phénomène de la prolifération des armes légères et de petit calibre en République Centrafricaine.
Selon le Président de la République, la RCA est l’un des pays Africains les plus affectés par les conflits armés qui ont accentué le phénomène de communautés armées.
Il a expliqué que plus de 3.000 civils auraient été tués suite aux violences armées, selon le rapport d’enquête réalisée par une branche des nations unies qui s’occupe des questions du désarmement.
« A la lecture de ce rapport, nul ne peut nier l’impact négatif de la prolifération des armes sur les communautés, sur la sécurité, sur la libre circulation des biens et des personnes et également sur la gestion des conflits », a déclaré le Président de la République.
Selon lui, c’est dire que la prolifération des armes mal gérées sont un vecteur d’instabilité car leur détention illégale et incontrôlée alimentent et favorisent l’apparition de fréquents cycles de violences et de représailles au sein de nos communautés.
Le chef de l’Etat centrafricain a poursuivi tout en expliquant que ce projet est une opportunité de réjouissance qui permettra aux uns et aux autres de prendre conscience du danger que représente la détention illégale d’armes.
Il a salué l’initiative de cette campagne qui a été possible grâce à la création de la Commission Nationale de Lutte Contre la Prolifération des Armes Légères et Petit Calibre (COMNAT-ALPC), conformément aux recommandations assorties des instruments internationaux de lutte contre la prolifération des armes.
Rappelons qu’au court de cette cérémonie, plus de 500 armes remises volontairement, composées des armes légères, de petit calibre et des armes obsolètes ont été détruites symboliquement pour annoncer officiellement le début de la campagne « Remise Volontaire d’Armes et Munitions ».
Selon le Président de la République, la RCA est l’un des pays Africains les plus affectés par les conflits armés qui ont accentué le phénomène de communautés armées.
Il a expliqué que plus de 3.000 civils auraient été tués suite aux violences armées, selon le rapport d’enquête réalisée par une branche des nations unies qui s’occupe des questions du désarmement.
« A la lecture de ce rapport, nul ne peut nier l’impact négatif de la prolifération des armes sur les communautés, sur la sécurité, sur la libre circulation des biens et des personnes et également sur la gestion des conflits », a déclaré le Président de la République.
Selon lui, c’est dire que la prolifération des armes mal gérées sont un vecteur d’instabilité car leur détention illégale et incontrôlée alimentent et favorisent l’apparition de fréquents cycles de violences et de représailles au sein de nos communautés.
Le chef de l’Etat centrafricain a poursuivi tout en expliquant que ce projet est une opportunité de réjouissance qui permettra aux uns et aux autres de prendre conscience du danger que représente la détention illégale d’armes.
Il a salué l’initiative de cette campagne qui a été possible grâce à la création de la Commission Nationale de Lutte Contre la Prolifération des Armes Légères et Petit Calibre (COMNAT-ALPC), conformément aux recommandations assorties des instruments internationaux de lutte contre la prolifération des armes.
Rappelons qu’au court de cette cérémonie, plus de 500 armes remises volontairement, composées des armes légères, de petit calibre et des armes obsolètes ont été détruites symboliquement pour annoncer officiellement le début de la campagne « Remise Volontaire d’Armes et Munitions ».