Le but de cette journée de réflexion est de restituer les résultats des travaux de la réunion régionale, tenue à Libreville, en juillet 2007, et de présenter le programme des travaux de l’année en cours.
Dans son rapport des travaux, le coordonnateur dudit projet, M. Godefroid Mokamanédé, a relevé que la dimension épidémiologique des conflits n’est pas prise en compte dans la gestion des crises. Il s'agit notamment du vih/sida, de la persistance du régionalisme et du tribalisme, de l’impunité, de la création des mouvements armés, du positionnement politique et bien d’autres crises qui freinent le développement de la République centrafricaine.
Il a conclu que beaucoup reste à faire dans le domaine du tribalisme, de l’impunité, de la conclusion des accords de paix et du manque de leadership.
M Cyriaque Gonda a rassuré les responsables du comité de pilotage pour la prévention et la gestion des conflits, qu’ils ont le soutien du gouvernement.
Il a par ailleurs affirmé que « sans la sécurité et sans son corollaire, la paix, on ne pourrait jamais parler de la lutte contre la pauvreté, encore moins de développement durable dont la société civile est l’un des défenseurs incontesté ».
Il a également indiqué que le gouvernement continuera de faire des efforts pour soutenir et appuyer toute initiative devant concourir au rétablissement de la sécurité dans notre pays dans un climat de dialogue permanent.
Il a toute fois exhorté les organisations membres de la coordination et ceux de la société civile qui ne font pas partie de ce comité à s’impliquer d’avantage dans cette noble et lourde mission qui est celle de prévenir et gérer les conflits, au lieu de gérer les conséquences qui sont difficilement maîtrisables.
Rappelons que cette réunion regroupait, une quarantaine de personnalités venues de différents départements ministériels oeuvrant dans la lutte contre la pauvreté, le Haut Conseil de la Communication, quelques responsables des partis politiques, la société civile, le représentant du chef de la délégation spéciale de la ville de Bangui.
Dans son rapport des travaux, le coordonnateur dudit projet, M. Godefroid Mokamanédé, a relevé que la dimension épidémiologique des conflits n’est pas prise en compte dans la gestion des crises. Il s'agit notamment du vih/sida, de la persistance du régionalisme et du tribalisme, de l’impunité, de la création des mouvements armés, du positionnement politique et bien d’autres crises qui freinent le développement de la République centrafricaine.
Il a conclu que beaucoup reste à faire dans le domaine du tribalisme, de l’impunité, de la conclusion des accords de paix et du manque de leadership.
M Cyriaque Gonda a rassuré les responsables du comité de pilotage pour la prévention et la gestion des conflits, qu’ils ont le soutien du gouvernement.
Il a par ailleurs affirmé que « sans la sécurité et sans son corollaire, la paix, on ne pourrait jamais parler de la lutte contre la pauvreté, encore moins de développement durable dont la société civile est l’un des défenseurs incontesté ».
Il a également indiqué que le gouvernement continuera de faire des efforts pour soutenir et appuyer toute initiative devant concourir au rétablissement de la sécurité dans notre pays dans un climat de dialogue permanent.
Il a toute fois exhorté les organisations membres de la coordination et ceux de la société civile qui ne font pas partie de ce comité à s’impliquer d’avantage dans cette noble et lourde mission qui est celle de prévenir et gérer les conflits, au lieu de gérer les conséquences qui sont difficilement maîtrisables.
Rappelons que cette réunion regroupait, une quarantaine de personnalités venues de différents départements ministériels oeuvrant dans la lutte contre la pauvreté, le Haut Conseil de la Communication, quelques responsables des partis politiques, la société civile, le représentant du chef de la délégation spéciale de la ville de Bangui.