Ce projet a trois objectifs principaux à savoir, assurer la continuité de la chaine de transport sur le corridor transafricain Lagos-Mombassa (TAN 8), réduire les détails et couts de transport sur les corridors Bangui-Kisangani-Kampala et Kisangani-Bujumbura et aussi faciliter les mouvements des personnes et des biens aux frontières RCA-RDC, RDC-Burundi et RDC-Ouganda.
En lançant officiellement ce projet, le ministre en charge d’Equipements, des Travaux publics et de l’entretien routier, Guismala Hamza, a rappelé que le lancement de ces études vient après la signature de la convention de financement à hauteur de 165 milliards de franc CFA par le Chef de l’Etat, Faustin Archange Touadéra de la première phase du projet d’aménagement de la route Ouesso-Bangui-N’Djamena et de la navigation sur le fleuve Congo et ses affluents (corridor n°13) avec la Banque Africaine de Développement(BAD).
« Je voudrais très sincèrement saluer la présence de la délégation de la CEEAC, maître d’ouvrage dudit projet », a-t-il poursuivi.
L’impact socioéconomique de ce projet sur la population et les Etats concernés est promoteur. Il vient accroitre la mobilité et l’amélioration de la liaison entre les pays et les régions, en favorisant les échanges intercommunautaires et améliorer aussi les conditions de vie des populations riveraines des zones de ce projet.
Pour la République Centrafricaine, ce projet lui permet de s’ouvrir vers les autres pays, afin de diversifier ses sources de ravitaillement en produits de premières nécessités.
Il convient de rappeler aussi que ce projet est né de la vision des chefs d’Etats et de gouvernements des pays de l’Afrique Centrale adoptée en janvier 2004 sous le plan directeur consensuel des transports en Afrique Centrale (PDCT-AC), assorti du programme de développement des infrastructures en Afrique (PIDA) adopté en 2012 par l’Union Africaine, afin de remédier au déficit des infrastructures en intégrant davantage les réseaux de transports.
En lançant officiellement ce projet, le ministre en charge d’Equipements, des Travaux publics et de l’entretien routier, Guismala Hamza, a rappelé que le lancement de ces études vient après la signature de la convention de financement à hauteur de 165 milliards de franc CFA par le Chef de l’Etat, Faustin Archange Touadéra de la première phase du projet d’aménagement de la route Ouesso-Bangui-N’Djamena et de la navigation sur le fleuve Congo et ses affluents (corridor n°13) avec la Banque Africaine de Développement(BAD).
« Je voudrais très sincèrement saluer la présence de la délégation de la CEEAC, maître d’ouvrage dudit projet », a-t-il poursuivi.
L’impact socioéconomique de ce projet sur la population et les Etats concernés est promoteur. Il vient accroitre la mobilité et l’amélioration de la liaison entre les pays et les régions, en favorisant les échanges intercommunautaires et améliorer aussi les conditions de vie des populations riveraines des zones de ce projet.
Pour la République Centrafricaine, ce projet lui permet de s’ouvrir vers les autres pays, afin de diversifier ses sources de ravitaillement en produits de premières nécessités.
Il convient de rappeler aussi que ce projet est né de la vision des chefs d’Etats et de gouvernements des pays de l’Afrique Centrale adoptée en janvier 2004 sous le plan directeur consensuel des transports en Afrique Centrale (PDCT-AC), assorti du programme de développement des infrastructures en Afrique (PIDA) adopté en 2012 par l’Union Africaine, afin de remédier au déficit des infrastructures en intégrant davantage les réseaux de transports.