L’objectif de cet atelier de trois jours est d’informer et de sensibiliser les différentes parties prenantes sur la mise en œuvre des actions du projet et à faire un cadrage technique des interventions des différents partenaires.
Le Ministre en charge de l’Agriculture et du Développement Rural, Eric Rokosse-Kamot a annoncé qu’à travers le PARSANKO, la Banque africaine de développement vient en appui à la mise en œuvre du Plan de Relèvement et de Consolidation de la Paix en Centrafrique(RCPCA).
Selon le membre du gouvernement, la République Centrafricaine est un pays qui dispose des potentiels agro écologiques et hydrologiques importants. Le secteur agricole emploie plus de 70 % de la population active et contribue à plus de 50% du produit intérieur brut (PIB).
Le Chef du département de l’Agriculture a réitéré que dans le cadre du PARSANKO, plus de 700 caisses de résilience seront mises en place et un accompagnement sera fourni aux membres pour qu’ils puissent bénéficier des services de micro finances, en vue d’accroitre le financement de leurs activités agricoles.
Eric Rokosse-Kamot a rappelé qu’en 2016, le gouvernement centrafricain a adopté le Plan National de Relèvement et de Consolidation de Paix en République Centrafricaine (RCPCA), qui est le document de référence de la politique de développement en Centrafrique pour la période 2017-2023. Ce plan est élaboré selon une approche multisectorielle qui s’articule autour de trois piliers à savoir l’appui, le soutien et la gestion du projet.
« Les Programmes Régionaux de Développement Agricole élaborés par le Ministère de l’Agriculture, du Développement Rural ont mis en exergue des actions, qui sont déclinées en projets et proposés aux financements pour permettre la relance du secteur agropastoral tout en assurant un développement harmonieux des différentes zones rurales du pays », a dit le Ministre.
Pour le Représentant résident de la Banque Africaine de Développement (BAD) en République Centrafricaine, Morissi Jean-Chrysostome, le PARSANKO est financé à plus de 20 millions d’unités de compte, soit près de 20 milliards de F.CFA.
« Le projet PARSANKO qui vise à augmenter la production agropastorale et améliorer l’accès aux services de base s’articule autour de trois composantes suivantes : appui à la production agropastorale, soutien aux initiatives communautaires et gestion du projet. Il contribue aussi à l’atténuation des effets et impacts probables de la COVID-19 dans les zones d’intervention du projet ainsi qu’à l’amélioration de l’autonomisation des femmes et des jeunes », a conclu le Représentant de la BAD.
Il convient de signaler que cet atelier du lancement du projet d’appui à la résilience et à la sécurité alimentaire et nutritionnelle dans les Préfectures de la Kémo et la Ouaka (PARSANKO), a regroupé les partenaires notamment la FAO, le Bureau International du Travail (BIT) et les partenaires nationaux.
Le Ministre en charge de l’Agriculture et du Développement Rural, Eric Rokosse-Kamot a annoncé qu’à travers le PARSANKO, la Banque africaine de développement vient en appui à la mise en œuvre du Plan de Relèvement et de Consolidation de la Paix en Centrafrique(RCPCA).
Selon le membre du gouvernement, la République Centrafricaine est un pays qui dispose des potentiels agro écologiques et hydrologiques importants. Le secteur agricole emploie plus de 70 % de la population active et contribue à plus de 50% du produit intérieur brut (PIB).
Le Chef du département de l’Agriculture a réitéré que dans le cadre du PARSANKO, plus de 700 caisses de résilience seront mises en place et un accompagnement sera fourni aux membres pour qu’ils puissent bénéficier des services de micro finances, en vue d’accroitre le financement de leurs activités agricoles.
Eric Rokosse-Kamot a rappelé qu’en 2016, le gouvernement centrafricain a adopté le Plan National de Relèvement et de Consolidation de Paix en République Centrafricaine (RCPCA), qui est le document de référence de la politique de développement en Centrafrique pour la période 2017-2023. Ce plan est élaboré selon une approche multisectorielle qui s’articule autour de trois piliers à savoir l’appui, le soutien et la gestion du projet.
« Les Programmes Régionaux de Développement Agricole élaborés par le Ministère de l’Agriculture, du Développement Rural ont mis en exergue des actions, qui sont déclinées en projets et proposés aux financements pour permettre la relance du secteur agropastoral tout en assurant un développement harmonieux des différentes zones rurales du pays », a dit le Ministre.
Pour le Représentant résident de la Banque Africaine de Développement (BAD) en République Centrafricaine, Morissi Jean-Chrysostome, le PARSANKO est financé à plus de 20 millions d’unités de compte, soit près de 20 milliards de F.CFA.
« Le projet PARSANKO qui vise à augmenter la production agropastorale et améliorer l’accès aux services de base s’articule autour de trois composantes suivantes : appui à la production agropastorale, soutien aux initiatives communautaires et gestion du projet. Il contribue aussi à l’atténuation des effets et impacts probables de la COVID-19 dans les zones d’intervention du projet ainsi qu’à l’amélioration de l’autonomisation des femmes et des jeunes », a conclu le Représentant de la BAD.
Il convient de signaler que cet atelier du lancement du projet d’appui à la résilience et à la sécurité alimentaire et nutritionnelle dans les Préfectures de la Kémo et la Ouaka (PARSANKO), a regroupé les partenaires notamment la FAO, le Bureau International du Travail (BIT) et les partenaires nationaux.