
L’atelier qui réunit les experts d’une dizaine de ministères impliqués dans le processus, va contribuer à la diversification de l’économie centrafricaine à travers la fibre optique.
Pour le Directeur de cabinet Nicaise Adolph Samfou, « cet atelier du lancement des études permet de revenir sur les spécificités du processus de ces études en lien avec les objectifs du projet CAB-RCA, et d’appréhender les évolutions règlementaires et pratiques au niveau national et d’échanger sur les méthodes et les outils afin de parvenir à un résultat de qualité ».
Hercule-Yam Jean-Rémy, Représentant-pays bureau Banque Africaine du Développement (BAD) en charge du programme, a mis l’accent sur les spécificités de ce projet pour la RCA, entre autres, favoriser l’augmentation des recettes fiscales, améliorer la connectivité numérique entre les différentes communautés, les administrations et les usagers.
Selon Eliza Géréanu, cheffe de Section Economique à la délégation de l’Union Européenne, « l’amélioration de la connectivité de la RCA avec les autres pays de la sous-région est l’objectif du projet d’intégration à fibre optique réalisée par la Central African Backbone ».
« Le projet contribuera au développement global de l’économie centrafricaine, grâce à une large utilisation des nouvelles technologies et permettra également de créer des emplois pour les jeunes chômeurs et contribuer à l’augmentation des revenus de l’Etat » a-t-elle souligné.
Le 2ème vice-président de la délégation de la ville de Bangui, Guillaume Ngobo, a quant à lui, affirmé que la fibre optique est à la fois un « support d’information et de Communication, de collecte et de stockage des données stratégiques et un outil essentiel pour le fonctionnement des services municipaux».
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Rappelons que le projet CAB, projet de dorsale à fibre optique d’Afrique centrale, composante-RCA, bénéficie d’une source de financement BAD/UE d’un montant de 22 milliards de F.CFA.
Pour le Directeur de cabinet Nicaise Adolph Samfou, « cet atelier du lancement des études permet de revenir sur les spécificités du processus de ces études en lien avec les objectifs du projet CAB-RCA, et d’appréhender les évolutions règlementaires et pratiques au niveau national et d’échanger sur les méthodes et les outils afin de parvenir à un résultat de qualité ».
Hercule-Yam Jean-Rémy, Représentant-pays bureau Banque Africaine du Développement (BAD) en charge du programme, a mis l’accent sur les spécificités de ce projet pour la RCA, entre autres, favoriser l’augmentation des recettes fiscales, améliorer la connectivité numérique entre les différentes communautés, les administrations et les usagers.
Selon Eliza Géréanu, cheffe de Section Economique à la délégation de l’Union Européenne, « l’amélioration de la connectivité de la RCA avec les autres pays de la sous-région est l’objectif du projet d’intégration à fibre optique réalisée par la Central African Backbone ».
« Le projet contribuera au développement global de l’économie centrafricaine, grâce à une large utilisation des nouvelles technologies et permettra également de créer des emplois pour les jeunes chômeurs et contribuer à l’augmentation des revenus de l’Etat » a-t-elle souligné.
Le 2ème vice-président de la délégation de la ville de Bangui, Guillaume Ngobo, a quant à lui, affirmé que la fibre optique est à la fois un « support d’information et de Communication, de collecte et de stockage des données stratégiques et un outil essentiel pour le fonctionnement des services municipaux».
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Rappelons que le projet CAB, projet de dorsale à fibre optique d’Afrique centrale, composante-RCA, bénéficie d’une source de financement BAD/UE d’un montant de 22 milliards de F.CFA.