Organisée par le RCACAL, cette semaine mondiale d’action contre la violence armée a regroupé une dizaine de leaders des ONG et Associations qui vont sillonner quelques Lycées de Bangui, notamment, le Lycée de Fatima, de Miskine, de Martyrs, le Lycée Caron, le Lycée Pi XII, le Lycée d’Etat des Rapides et la minorité peulh, en vue d’informer, sensibiliser de conscientiser et d’inculquer les dangers de la culture de l’intolérance et de la violence armée en vue de garantir une quiétude sociale.
Objectif de cette semaine est de sensibiliser la communauté nationale, la communauté internationale et les décideurs à développer une vision plus morale du problème de la violence armée à travers le pays en vue de son application.
« La semaine mondiale de lutte contre la violence est une action très importante qui s’intègre dans le processus de désarmement mental et physique afin de rétablir la paix et la réconciliation pour un avenir meilleur », a déclaré le ministre Gouandjika.
Par ailleurs, il a précisé que « les différentes structures de désarmement, de réforme sécuritaire, les armes légères et le petit calibre (ALPC), la réforme du secteur de sécurité (RSS) et présentement le désarmement, la démobilisation et la réinsertion (DDR) sont des opérations très importantes et sont contenues dans les principes directeurs tendant à réduire la discrimination et l’injustice au sein de la population ».
« C’est une question de volonté réciproque pour faire taire définitivement les armes afin d’aller aux prochaines échéances électorales », a conclu le ministre Gouandjika.
M. Doulpanga a pour sa part sollicité l’appui du gouvernement dans le processus de l’Organisation des Nations Unies (ONU) que les types d’armes, des munitions et le transfert devrait être inclus dans une définition générale du champ d’application du traité du commerce des armes (TCA).
« Promouvoir les liens entre le TCA fort et la mise en œuvre nationale des engagements tels que les résolutions du conseil 1325 et 1820 sur les femmes, la paix et la sécurité », a-t-il ajouté.
Il convient de rappeler que le RCACAL a pour mission de contribuer à l’avènement d’un environnement sécurisé pour le développement de l’Afrique centrale et l’édification de la paix dans la sous région.
vv
Objectif de cette semaine est de sensibiliser la communauté nationale, la communauté internationale et les décideurs à développer une vision plus morale du problème de la violence armée à travers le pays en vue de son application.
« La semaine mondiale de lutte contre la violence est une action très importante qui s’intègre dans le processus de désarmement mental et physique afin de rétablir la paix et la réconciliation pour un avenir meilleur », a déclaré le ministre Gouandjika.
Par ailleurs, il a précisé que « les différentes structures de désarmement, de réforme sécuritaire, les armes légères et le petit calibre (ALPC), la réforme du secteur de sécurité (RSS) et présentement le désarmement, la démobilisation et la réinsertion (DDR) sont des opérations très importantes et sont contenues dans les principes directeurs tendant à réduire la discrimination et l’injustice au sein de la population ».
« C’est une question de volonté réciproque pour faire taire définitivement les armes afin d’aller aux prochaines échéances électorales », a conclu le ministre Gouandjika.
M. Doulpanga a pour sa part sollicité l’appui du gouvernement dans le processus de l’Organisation des Nations Unies (ONU) que les types d’armes, des munitions et le transfert devrait être inclus dans une définition générale du champ d’application du traité du commerce des armes (TCA).
« Promouvoir les liens entre le TCA fort et la mise en œuvre nationale des engagements tels que les résolutions du conseil 1325 et 1820 sur les femmes, la paix et la sécurité », a-t-il ajouté.
Il convient de rappeler que le RCACAL a pour mission de contribuer à l’avènement d’un environnement sécurisé pour le développement de l’Afrique centrale et l’édification de la paix dans la sous région.
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