A l’occasion de cette cérémonie, le colonel Mbay a affirmé que la réhabilitation du Barc se situe dans le cadre de sa politique de transport basée sur « la multi modalité ».
Après avoir indiqué que le Barc est une personne morale qui facilite le circuit en matière de transport routier, il a précisé que « le volet routier bénéficie d’une attention particulière du Président de la République, François Bozizé, et du gouvernement, par le service qu’il rend à l’économie nationale ».
Pour lui, cette réhabilitation va permettre aux usagers, au personnel du Barc ainsi qu’au public de « disposer dorénavant de conditions optimales de travail et d’un cadre de vie agréable. Car la gare routière dans une ville est un lieu de rencontre entre tous les intérêts qui favorisent la création des richesses », a-t-il déclaré.
Il convient de rappeler que le Barc a été créé en 1981 pour remplacer l’Office national d’affrètement (Onaf). Il est chargé de l’affrètement des véhicules de transport routier et des marchandises en qualité de commissaire.
Cette institution est également chargée du contrôle de l’application et du suivi des accords internationaux en matière de transports routiers ainsi que de la promotion des infrastructures d’accueil pour la commodité des usagers des services de transports, de la collecte et du traitement des données statistiques du secteur des transports routiers.
Conformément à cette mission, le Barc joue un rôle capital dans le désenclavement de la République Centrafricaine.
Construit en 1967, le bâtiment dont les travaux de réhabilitation ont été lancés samedi garde encore les stigmates des différents conflits armés dont Bangui a été le théâtre entre 1996 et 2003.
Après avoir indiqué que le Barc est une personne morale qui facilite le circuit en matière de transport routier, il a précisé que « le volet routier bénéficie d’une attention particulière du Président de la République, François Bozizé, et du gouvernement, par le service qu’il rend à l’économie nationale ».
Pour lui, cette réhabilitation va permettre aux usagers, au personnel du Barc ainsi qu’au public de « disposer dorénavant de conditions optimales de travail et d’un cadre de vie agréable. Car la gare routière dans une ville est un lieu de rencontre entre tous les intérêts qui favorisent la création des richesses », a-t-il déclaré.
Il convient de rappeler que le Barc a été créé en 1981 pour remplacer l’Office national d’affrètement (Onaf). Il est chargé de l’affrètement des véhicules de transport routier et des marchandises en qualité de commissaire.
Cette institution est également chargée du contrôle de l’application et du suivi des accords internationaux en matière de transports routiers ainsi que de la promotion des infrastructures d’accueil pour la commodité des usagers des services de transports, de la collecte et du traitement des données statistiques du secteur des transports routiers.
Conformément à cette mission, le Barc joue un rôle capital dans le désenclavement de la République Centrafricaine.
Construit en 1967, le bâtiment dont les travaux de réhabilitation ont été lancés samedi garde encore les stigmates des différents conflits armés dont Bangui a été le théâtre entre 1996 et 2003.