L’objectif de cette deuxième édition Café Genre est de susciter un débat de fond autour de la place de femme dans le processus de transformation de l’économie centrafricaine.
La ministre de la Promotion du genre, Margueritte Ramadan a indiqué que les inégalités socioéconomiques et éducatives entre l’homme et la femme pèsent sur la croissance économique d’un pays.
Selon le membre du gouvernement, le rapport d’une étude diagnostique pour l’intégration commerciale de la femme en République Centrafricaine révèle que, l’une des causes profondes de la faible intégration du pays dans le commerce international est la faible représentation des femmes dans le monde des affaires, d’où la nécessité de promouvoir l’entreprenariat féminin.
La ministre Ramadan a soutenu que le principal défi est d’accompagner et d’amener par tous les moyens, les femmes centrafricaines à devenir de véritables femmes d’affaires, car le développement de l’entreprenariat est reconnu comme un levier qui permet de relever le défi de la croissance économique.
Le représentant de l’ONU Femmes, Salvator Nkurunziza, a réitéré l’engagement de son institution à suivre avec le plus grand intérêt les interventions des membres du Gouvernement et a rassuré la disponibilité de l’ONU Femmes à joindre ses efforts à ceux du Gouvernement, afin de trouver une solution idoine pour les femmes et les filles exerçant dans le secteur informel.
Il convient de noter que ce débat d’une journée sur la place de la femme dans le processus de la transformation de l’économie centrafricaine va émettre des recommandations qui seront soumises au gouvernement.
La ministre de la Promotion du genre, Margueritte Ramadan a indiqué que les inégalités socioéconomiques et éducatives entre l’homme et la femme pèsent sur la croissance économique d’un pays.
Selon le membre du gouvernement, le rapport d’une étude diagnostique pour l’intégration commerciale de la femme en République Centrafricaine révèle que, l’une des causes profondes de la faible intégration du pays dans le commerce international est la faible représentation des femmes dans le monde des affaires, d’où la nécessité de promouvoir l’entreprenariat féminin.
La ministre Ramadan a soutenu que le principal défi est d’accompagner et d’amener par tous les moyens, les femmes centrafricaines à devenir de véritables femmes d’affaires, car le développement de l’entreprenariat est reconnu comme un levier qui permet de relever le défi de la croissance économique.
Le représentant de l’ONU Femmes, Salvator Nkurunziza, a réitéré l’engagement de son institution à suivre avec le plus grand intérêt les interventions des membres du Gouvernement et a rassuré la disponibilité de l’ONU Femmes à joindre ses efforts à ceux du Gouvernement, afin de trouver une solution idoine pour les femmes et les filles exerçant dans le secteur informel.
Il convient de noter que ce débat d’une journée sur la place de la femme dans le processus de la transformation de l’économie centrafricaine va émettre des recommandations qui seront soumises au gouvernement.