Pour la ministre d’Etat, Marie Noelle Koyara, le Chef de l’Etat de transition a instruit le gouvernement à poursuivre toutes les actions de sensibilisation et plaidoyer de toutes les composantes de la société centrafricaine sur la nécessité de mener une lutte sans merci contre ce phénomène.
Aux dires de la Ministre Marie Noelle Koyara, ‘’des actions fortes doivent être menées pour traduire devant les juridictions compétentes les auteurs de ces violences faites aux femmes conformément aux lois en la matière’’.
Elle a saisi cette opportunité pour décerner son satisfécit aux médias qui ont dénoncé dans leurs colonnes les exactions perpétrées à l’égard des femmes, ce qui a permis d’attirer l’attention des pouvoirs publics sur ces genres de violation des droits de l’homme.
La ministre des Affaires Sociales et de l’Action Humanitaire, Eugénie Yarafa a rappelé que depuis juin 2014, plus de deux mille femmes et filles ont subis des violences telles que : les coups et blessures, les viols, la stigmatisation des victimes de viols y compris les enfants nés de ces viols, la répudiation de certaines de leurs foyers conjugal etc.
Se référant aux Résolutions 21/49, 13/25 du Conseil de Sécurité des Nations-Unies et les autres résolutions connexes sur les femmes, la paix et la sécurité, le Chef de la Mission Multidimensionnelle Intégrée des Nations-Unies pour la Stabilisation de la République Centrafricaine (MINUSCA), le général Babacar Gaye a reconnu que son institution et la Coordination des agences du système des Nations-Unies œuvrent de concert pour la mise en exécution des mandats des Nations-Unies pour la protection des couches vulnérables de la société centrafricaine.
Il convient de noter que le département des Affaires Sociales et de l’Action Humanitaire a prévu des causeries de proximité dans les huit arrondissements de Bangui, Bimbo, Bégoua et dans l’arrière pays.
Aux dires de la Ministre Marie Noelle Koyara, ‘’des actions fortes doivent être menées pour traduire devant les juridictions compétentes les auteurs de ces violences faites aux femmes conformément aux lois en la matière’’.
Elle a saisi cette opportunité pour décerner son satisfécit aux médias qui ont dénoncé dans leurs colonnes les exactions perpétrées à l’égard des femmes, ce qui a permis d’attirer l’attention des pouvoirs publics sur ces genres de violation des droits de l’homme.
La ministre des Affaires Sociales et de l’Action Humanitaire, Eugénie Yarafa a rappelé que depuis juin 2014, plus de deux mille femmes et filles ont subis des violences telles que : les coups et blessures, les viols, la stigmatisation des victimes de viols y compris les enfants nés de ces viols, la répudiation de certaines de leurs foyers conjugal etc.
Se référant aux Résolutions 21/49, 13/25 du Conseil de Sécurité des Nations-Unies et les autres résolutions connexes sur les femmes, la paix et la sécurité, le Chef de la Mission Multidimensionnelle Intégrée des Nations-Unies pour la Stabilisation de la République Centrafricaine (MINUSCA), le général Babacar Gaye a reconnu que son institution et la Coordination des agences du système des Nations-Unies œuvrent de concert pour la mise en exécution des mandats des Nations-Unies pour la protection des couches vulnérables de la société centrafricaine.
Il convient de noter que le département des Affaires Sociales et de l’Action Humanitaire a prévu des causeries de proximité dans les huit arrondissements de Bangui, Bimbo, Bégoua et dans l’arrière pays.