La ministre Virginie Mbaïkoua, à l'ouverture de l'atelier
Le but de cet atelier de formation est de recueillir les attentes réelles des Centrafricains à la base relatives à la Commission Vérité, Justice, Réparation et Réconciliation, et aussi d’élaborer un projet de Loi portant création, organisation et fonctionnement de ladite commission.
La ministre Virginie Mbaïkoua a expliqué que c’est pour répondre à la volonté des Centrafricains exprimée lors du Forum national de Bangui de mai 2015 que fut créé par décret le comité de pilotage du processus de mise en place de la Commission Vérité, Justice, Réparation et Réconciliation.
Elle a noté que l’atelier dont les travaux démarrent ce jour marque une étape importante dans l’accomplissement de la première mission du comité de pilotage et renforcer les capacités des personnalités désignées par leurs entités respectives pour faciliter les opérations de consultation à la base.
Pour elle, la formation des facilitateurs revêt une grande importance du fait du rôle central qu’ils vont jouer dans le recueil des attentes réelles des populations, des données recueillies et l’élaboration de l’avant-projet de loi de création de la Commission Vérité, Justice, Réparation et Réconciliation.
« En effet, la consultation populaire est une approche du bas vers le haut qui a l’ambition d’impulser une dynamique de participation et d’inclusion des citoyens au niveau des processus mais également des mécanismes et des dispositifs de justice transitionnelle dans notre pays », a-t-elle poursuivi.
Elle a remercié l’ensemble des partenaires, l’Union Africaine et la MINUSCA qui accompagnent le gouvernement dans la recherche, le maintien et la consolidation de la paix dans le pays.
Il faut rappeler qu’après plusieurs décennies de violences politiques et militaires, des crimes massifs et d’atteintes graves aux droits de l’homme en RCA, il est temps de penser au volet Vérité, Justice, Réparation et Réconciliation.
Hassan Annour / ACAP
La ministre Virginie Mbaïkoua a expliqué que c’est pour répondre à la volonté des Centrafricains exprimée lors du Forum national de Bangui de mai 2015 que fut créé par décret le comité de pilotage du processus de mise en place de la Commission Vérité, Justice, Réparation et Réconciliation.
Elle a noté que l’atelier dont les travaux démarrent ce jour marque une étape importante dans l’accomplissement de la première mission du comité de pilotage et renforcer les capacités des personnalités désignées par leurs entités respectives pour faciliter les opérations de consultation à la base.
Pour elle, la formation des facilitateurs revêt une grande importance du fait du rôle central qu’ils vont jouer dans le recueil des attentes réelles des populations, des données recueillies et l’élaboration de l’avant-projet de loi de création de la Commission Vérité, Justice, Réparation et Réconciliation.
« En effet, la consultation populaire est une approche du bas vers le haut qui a l’ambition d’impulser une dynamique de participation et d’inclusion des citoyens au niveau des processus mais également des mécanismes et des dispositifs de justice transitionnelle dans notre pays », a-t-elle poursuivi.
Elle a remercié l’ensemble des partenaires, l’Union Africaine et la MINUSCA qui accompagnent le gouvernement dans la recherche, le maintien et la consolidation de la paix dans le pays.
Il faut rappeler qu’après plusieurs décennies de violences politiques et militaires, des crimes massifs et d’atteintes graves aux droits de l’homme en RCA, il est temps de penser au volet Vérité, Justice, Réparation et Réconciliation.
Hassan Annour / ACAP