
Cette journée à pour but de garantir un avenir meilleur et un monde plus juste, sans violence à l’égard des femmes et des filles. La Journée s’organise autour du thème ‘’Arangez le monde : tous unis, d’ici à 2030, pour mettre fin à la violence à l’égard des femmes’’.
La ministre Margueritte Ramadan, a déclaré que la commémoration de ces 16 jours d’activisme, offre l’opportunité d’attirer une fois de plus l’attention individuelle et collective, sur la nécessité d’aborder la question des violences faites aux femmes et aux filles, et de promouvoir leurs Droits Humains, afin de leur assurer protection et sécurité.
« Les violences basées sur le genre, qu’elles soient commises en situation de paix, de guerre ou de post-conflit, interpellent tout le monde à cause de leur gravité. Ainsi, la lutte contre ce fléau constitue une préoccupation majeure pour la communauté tant nationale qu’internationale », a poursuivi la ministre Ramadan.
Elle a par ailleurs, fait savoir qu’en République Centrafricaine, et selon le rapport du système de gestion de l’information sur les violences basées sur le genre, de 2016 à 2020, un total de 51.730 cas de violences basées sur le genre ont été enregistré parmi lesquelles il y a eu 10.987 cas de violence sexuelle, soit 21% et 40.743 cas, soit 79% des autres formes.
« Toutes ces violences sexistes et sexuelles faites aux femmes et aux filles, trouvent leur origine dans les inégalités construites et entretenues pendant longtemps entre les femmes et les hommes », a-t-elle fait remarquer.
Rappelons que ce Plan de mise en œuvre de la Stratégie est un document de coordination de toutes les interventions des Partenaires Techniques et Financiers de la République Centrafricaine œuvrant dans le cadre de la promotion du genre, de la lutte contre les violences basées sur le genre, conformément aux orientations de l’Objectif du Développement Durable (ODD) qui vise l’égalité entre les sexes.
La ministre Margueritte Ramadan, a déclaré que la commémoration de ces 16 jours d’activisme, offre l’opportunité d’attirer une fois de plus l’attention individuelle et collective, sur la nécessité d’aborder la question des violences faites aux femmes et aux filles, et de promouvoir leurs Droits Humains, afin de leur assurer protection et sécurité.
« Les violences basées sur le genre, qu’elles soient commises en situation de paix, de guerre ou de post-conflit, interpellent tout le monde à cause de leur gravité. Ainsi, la lutte contre ce fléau constitue une préoccupation majeure pour la communauté tant nationale qu’internationale », a poursuivi la ministre Ramadan.
Elle a par ailleurs, fait savoir qu’en République Centrafricaine, et selon le rapport du système de gestion de l’information sur les violences basées sur le genre, de 2016 à 2020, un total de 51.730 cas de violences basées sur le genre ont été enregistré parmi lesquelles il y a eu 10.987 cas de violence sexuelle, soit 21% et 40.743 cas, soit 79% des autres formes.
« Toutes ces violences sexistes et sexuelles faites aux femmes et aux filles, trouvent leur origine dans les inégalités construites et entretenues pendant longtemps entre les femmes et les hommes », a-t-elle fait remarquer.
Rappelons que ce Plan de mise en œuvre de la Stratégie est un document de coordination de toutes les interventions des Partenaires Techniques et Financiers de la République Centrafricaine œuvrant dans le cadre de la promotion du genre, de la lutte contre les violences basées sur le genre, conformément aux orientations de l’Objectif du Développement Durable (ODD) qui vise l’égalité entre les sexes.