Cette déclaration est faite lors d’une rencontre de l’Association des Femmes d’Affaires Centrafricaines (AFAC), destinée à réfléchir sur le thème de la Journée Internationale de la femme 2011, à savoir « l’égalité d’accès à l’éducation, à la Formation, à la Technologie et à la science : voie pour un travail décent des femmes», lundi 07 mars 2011, à Bangui.
C’est pourquoi, a-t-elle expliqué, « le thème national de la journée édition 2011, est « la consolidation de la paix et l’accès des femmes aux instances de prise de décision ».
Elle a estimé que l’accès des femmes aux instances de prise de décision dépend de leurs capacités.
Selon elle, la question de l’accès de la petite fille l’éducation et la question de la paix durable sont au centre de préoccupation du gouvernement.
« Consolidation de la paix et l’accès des femmes aux instances de prise de décision rencontre parfaitement les préoccupation des femmes Centrafricaines », a-t-elle poursuivi.
Elle a souligné que dans les pays en développement les femmes sont premières victimes des violences et elles sont les plus exposées aux maladies, aux difficultés d’accès à l’éducation et à la pauvreté.
Mme Dejean a réitéré que l’égalité entre les sexes est un facteur de développement économique.
« Dès lors, le combat contre l’inégalité, le droit des femmes à l’enseignement secondaire et supérieur, la participation aux responsabilités sociales, professionnelles et politiques deviennent primordiales », a-t-elle souligné.
« L’engagement croissant des femmes Africaines en faveurs du développement, l’importance qu’elles attachent au renforcement et au progrès de leurs droits sont des signes forts de cette évolution nouvelle », a ajouté la présidente de l’AFAC.
C’est pourquoi, a-t-elle expliqué, « le thème national de la journée édition 2011, est « la consolidation de la paix et l’accès des femmes aux instances de prise de décision ».
Elle a estimé que l’accès des femmes aux instances de prise de décision dépend de leurs capacités.
Selon elle, la question de l’accès de la petite fille l’éducation et la question de la paix durable sont au centre de préoccupation du gouvernement.
« Consolidation de la paix et l’accès des femmes aux instances de prise de décision rencontre parfaitement les préoccupation des femmes Centrafricaines », a-t-elle poursuivi.
Elle a souligné que dans les pays en développement les femmes sont premières victimes des violences et elles sont les plus exposées aux maladies, aux difficultés d’accès à l’éducation et à la pauvreté.
Mme Dejean a réitéré que l’égalité entre les sexes est un facteur de développement économique.
« Dès lors, le combat contre l’inégalité, le droit des femmes à l’enseignement secondaire et supérieur, la participation aux responsabilités sociales, professionnelles et politiques deviennent primordiales », a-t-elle souligné.
« L’engagement croissant des femmes Africaines en faveurs du développement, l’importance qu’elles attachent au renforcement et au progrès de leurs droits sont des signes forts de cette évolution nouvelle », a ajouté la présidente de l’AFAC.