En République Centrafricaine, beaucoup méconnait ce métier. Le perruquier ou posticheur, exerce son talent en imaginant, concevant, entretenant et restaurant divers types de perruques à l’aide de cheveux naturels, synthétiques ou de poils de yack.
Cette mode se répandit chez les personnes qui souhaitaient dissimuler leur manque de cheveux à une époque où la mode était aux cheveux longs. De nos jours, les femmes portent sur la tête la perruque pour des raisons liées à la mode et pour des considérations esthétiques. Il existe de nombreuses écoles qui sont spécialisées dans ce domaine.
Pour Mirabelle Kossi, elle a indiqué que ce métier a été appris de sa propre connaissance sans aucune formation professionnelle. Elle peut conseiller à ses clientèles, les types de mèche à utiliser par rapport à leur état de cheveu pour répondre leurs besoins esthétiques.
Selon elle, les prix de ses perruques varient le plus souvent de 10 à 15.000 FCFA discutables selon les qualités des mèches et par semaine, elle peut liquider 10 à 20 perruques sur le marché, si la demande est forte. Ce qui peut lui rapporter la somme de 100 à 200.000FCFA de revenu.
« Ces sommes m’ont permis de procurer beaucoup de mes biens et d’acheter une grande concession, sur laquelle je suis en train de bâtir une maison », a raconté la dame.
Mirabelle Kossi a souhaité un jour s’installer dans un grand atelier confortable avec des matériels adéquats pour développer son métier et former les jeunes filles qui désirent faire ce carrière.
Notons que la mode de la perruque a été inventée en France par Louis XIII, dans les années 1620. Aujourd’hui, elle est adoptée par un millier des femmes.
Cette mode se répandit chez les personnes qui souhaitaient dissimuler leur manque de cheveux à une époque où la mode était aux cheveux longs. De nos jours, les femmes portent sur la tête la perruque pour des raisons liées à la mode et pour des considérations esthétiques. Il existe de nombreuses écoles qui sont spécialisées dans ce domaine.
Pour Mirabelle Kossi, elle a indiqué que ce métier a été appris de sa propre connaissance sans aucune formation professionnelle. Elle peut conseiller à ses clientèles, les types de mèche à utiliser par rapport à leur état de cheveu pour répondre leurs besoins esthétiques.
Selon elle, les prix de ses perruques varient le plus souvent de 10 à 15.000 FCFA discutables selon les qualités des mèches et par semaine, elle peut liquider 10 à 20 perruques sur le marché, si la demande est forte. Ce qui peut lui rapporter la somme de 100 à 200.000FCFA de revenu.
« Ces sommes m’ont permis de procurer beaucoup de mes biens et d’acheter une grande concession, sur laquelle je suis en train de bâtir une maison », a raconté la dame.
Mirabelle Kossi a souhaité un jour s’installer dans un grand atelier confortable avec des matériels adéquats pour développer son métier et former les jeunes filles qui désirent faire ce carrière.
Notons que la mode de la perruque a été inventée en France par Louis XIII, dans les années 1620. Aujourd’hui, elle est adoptée par un millier des femmes.