Cette déclaration est faite aux termes de sa mission d’échanges avec les autorités et autres partenaires nationaux et internationaux et évaluer conjointement les progrès accomplis dans le processus de la consolidation de la paix dans le pays, samedi 9 avril 2011, au cours d’une conférence de presse.
Le Président Jan Grauls, a apprécié l’état d’avancement de l’élaboration du Document de la Stratégie pour la Réduction de la Pauvreté deuxième génération (DSRP II), pour la période 2011-2015, qui fera l’objet des débats et discussions, de la conférence des donateurs, à Bruxelles.
En outre, l’Ambassadeur jan Grauls, a déploré que dans ce pays, il y a encore de sérieux problèmes de violences à l’égard des femmes, notamment la violence domestique et la violence sexuelle.
Il a signifié qu’à New-York, beaucoup de littérature en fait état de cette situation. « Une ONG qui va certainement publier dans un prochain jour un rapport accablant », a-t-il précisé.
«Il faut que cette problématique soit mieux pris en compte par l’ensemble de la classe politique », a –t-il dit en substance.
« Je pense que c’est le devoir de la Communauté Internationale d’attirer l’attention de la République centrafricaine, dans ce secteur, pour que la situation s’améliore. C’est aussi, une question de mentalité, de tradition de coutume. Mais, il faut rompre ce cycle presque infernal », a – ajouté Jan Grauls
Il a également déploré la situation des enfants qualifiant de dramatique, dans la sous préfecture de Batangafo, au nord-ouest de Centrafrique. En indiquant que la République centrafricaine pourra s’engager à faire mieux et que celle-ci, bénéficierait de l’appui de la Communauté Internationale.
Au sujet du Désarmement Démobilisation et Réinsertion (DDR), le Président Jan Grauls a demandé la relance du processus du DDR dans le nord-ouest et le nord-est.
Selon lui, le DDR aurait du,être une réalité dans votre pays. Malheureusement, il n’en est pas. Nous voulons que le DDR puisse être mener à bon port.
« La sous préfecture de Batangafo, vit une période de paix fragile. Cette région regroupe quatre mouvements de rebelles qui sont toujours d’une façon où d’une autre active dans cette localité. Ces groupes restent présentes d’où l’importance et la nécessité de poursuivre le DDR et d’amener le CPJP qui n’a jamais signé les Accords de Libreville, de l'associer à ce processus, parce que la capacité de nuisance de ces groupes rebelles reste importante », a-t-il fait observer.
Le Président Jan Grauls, a apprécié l’état d’avancement de l’élaboration du Document de la Stratégie pour la Réduction de la Pauvreté deuxième génération (DSRP II), pour la période 2011-2015, qui fera l’objet des débats et discussions, de la conférence des donateurs, à Bruxelles.
En outre, l’Ambassadeur jan Grauls, a déploré que dans ce pays, il y a encore de sérieux problèmes de violences à l’égard des femmes, notamment la violence domestique et la violence sexuelle.
Il a signifié qu’à New-York, beaucoup de littérature en fait état de cette situation. « Une ONG qui va certainement publier dans un prochain jour un rapport accablant », a-t-il précisé.
«Il faut que cette problématique soit mieux pris en compte par l’ensemble de la classe politique », a –t-il dit en substance.
« Je pense que c’est le devoir de la Communauté Internationale d’attirer l’attention de la République centrafricaine, dans ce secteur, pour que la situation s’améliore. C’est aussi, une question de mentalité, de tradition de coutume. Mais, il faut rompre ce cycle presque infernal », a – ajouté Jan Grauls
Il a également déploré la situation des enfants qualifiant de dramatique, dans la sous préfecture de Batangafo, au nord-ouest de Centrafrique. En indiquant que la République centrafricaine pourra s’engager à faire mieux et que celle-ci, bénéficierait de l’appui de la Communauté Internationale.
Au sujet du Désarmement Démobilisation et Réinsertion (DDR), le Président Jan Grauls a demandé la relance du processus du DDR dans le nord-ouest et le nord-est.
Selon lui, le DDR aurait du,être une réalité dans votre pays. Malheureusement, il n’en est pas. Nous voulons que le DDR puisse être mener à bon port.
« La sous préfecture de Batangafo, vit une période de paix fragile. Cette région regroupe quatre mouvements de rebelles qui sont toujours d’une façon où d’une autre active dans cette localité. Ces groupes restent présentes d’où l’importance et la nécessité de poursuivre le DDR et d’amener le CPJP qui n’a jamais signé les Accords de Libreville, de l'associer à ce processus, parce que la capacité de nuisance de ces groupes rebelles reste importante », a-t-il fait observer.