Selon nos investigations, le plus grand problème que la société continue d’y faire face, est la coupe des bois d’œuvre au sein du PEA par les clandestins qui s’amplifie de jour le jour.
« Les scieurs illégaux utilisent les routes tracées par la société pour entrer dans les assiettes afin de couper les bois. Même les pieds d’arbre inventorié et marqué lors de la prospection sont effacés soit couper par ses clandestins, mettant ainsi la société en difficulté » a déclaré un membre de la direction générale.
En effet, l’exploitation clandestine des bois, est un manque à gagner pour la société qui est en règle avec l’Etat centrafricain pour son exploitation. En plus des Taxes abattages et de Reboisement, la société est tenue de payer la taxe de loyer sur la superficie dont le montant par hectare est fixé dans le code Forestier. Cette taxe est payée de manière annuelle au début de l’année. Et pour exporter, des différents droits sont aussi payés aux différents administrations et Services (Douanes, Impôts, Commerce, Eaux et Forêt etc…).
Malgré tout, Centrabois, continu d’apporter son indéfectible soutient à la population périphérique de ses usines à travers des actions citoyennes tels que : la prise en charge des maitre-parents, la réhabilitation des routes, des écoles, des hôpitaux et aussi les assistances diverses.
En plus, grâce à l’installation des usines de la société dans les localités occupées, la société a participé à la lutte contre le chômage en embauchant un nombre important des mains d’œuvres.
Au départ, en 2016, l’effectif total des jeunes engagés est de 200 employés, chaque année le nombre des employés de Centrabois augmente de manière exponentielle pour atteindre aujourd’hui un effectif de 729 emplois direct (personnels contractuelle) et plus de 250 emplois saisonnière (Temporaires).
Selon un aménagiste de Centrabois, avec cette exploitation clandestine, la société risque de tomber en faillite et fermer ses portes dans un avenir très proche. C’est pourquoi, il exhorte, les populations périphériques des usines de Centrabois de participer efficacement dans la lutte contre les exploitations clandestines des domaines de ladite société.
Notons que, Centrabois comme toute autre société anonyme est pilotée par un conseil d’administration et sa direction générale se trouve à PK9, route de M’baÏki, là où se trouve l’unité de transformation de la société.
« Les scieurs illégaux utilisent les routes tracées par la société pour entrer dans les assiettes afin de couper les bois. Même les pieds d’arbre inventorié et marqué lors de la prospection sont effacés soit couper par ses clandestins, mettant ainsi la société en difficulté » a déclaré un membre de la direction générale.
En effet, l’exploitation clandestine des bois, est un manque à gagner pour la société qui est en règle avec l’Etat centrafricain pour son exploitation. En plus des Taxes abattages et de Reboisement, la société est tenue de payer la taxe de loyer sur la superficie dont le montant par hectare est fixé dans le code Forestier. Cette taxe est payée de manière annuelle au début de l’année. Et pour exporter, des différents droits sont aussi payés aux différents administrations et Services (Douanes, Impôts, Commerce, Eaux et Forêt etc…).
Malgré tout, Centrabois, continu d’apporter son indéfectible soutient à la population périphérique de ses usines à travers des actions citoyennes tels que : la prise en charge des maitre-parents, la réhabilitation des routes, des écoles, des hôpitaux et aussi les assistances diverses.
En plus, grâce à l’installation des usines de la société dans les localités occupées, la société a participé à la lutte contre le chômage en embauchant un nombre important des mains d’œuvres.
Au départ, en 2016, l’effectif total des jeunes engagés est de 200 employés, chaque année le nombre des employés de Centrabois augmente de manière exponentielle pour atteindre aujourd’hui un effectif de 729 emplois direct (personnels contractuelle) et plus de 250 emplois saisonnière (Temporaires).
Selon un aménagiste de Centrabois, avec cette exploitation clandestine, la société risque de tomber en faillite et fermer ses portes dans un avenir très proche. C’est pourquoi, il exhorte, les populations périphériques des usines de Centrabois de participer efficacement dans la lutte contre les exploitations clandestines des domaines de ladite société.
Notons que, Centrabois comme toute autre société anonyme est pilotée par un conseil d’administration et sa direction générale se trouve à PK9, route de M’baÏki, là où se trouve l’unité de transformation de la société.