L’objectif de ce projet, initié par Astrium, sur financement de l’Agence Française de Développement (AFD), est de fournir des informations satellitaires dénommées « images Spot Haute résolution de 2,5 m » ; de produire une carte inhérente à l’extension actuelle de la forêt ; d’analyser les changements des régions forestières ; d’identifier les types de pressions humaines sur les forêts ainsi que leur évolution afin d’élaborer une stratégie de lutte contre la déforestation et les émissions de gaz à effet de serre.
Selon Gabriel Jaffrana, chargé de mission en système d’informations à Astrium, « le but ultime de ces initiatives vise à évaluer les menaces de déforestation dans les forêts tropicales humides des six pays du bassin du Congo et surtout à mesurer le niveau d’émission de carbone grâce au programme REDD+ ».
Le coordonnateur du processus REDD+ en Centrafrique, Igor Tola Kogadou, a émis le vœu que les décideurs politiques « prendront les mesures qui s’imposent pour la sécurisation de ces données satellitaires »
Il faut rappeler que le mécanisme de rémunération de la REDD+ c'est-à-dire des pays qui feront des efforts pour préserver leurs forêts a été officiellement adopté à la conférence climat de Cancun en Belgique en 2010.
Selon Gabriel Jaffrana, chargé de mission en système d’informations à Astrium, « le but ultime de ces initiatives vise à évaluer les menaces de déforestation dans les forêts tropicales humides des six pays du bassin du Congo et surtout à mesurer le niveau d’émission de carbone grâce au programme REDD+ ».
Le coordonnateur du processus REDD+ en Centrafrique, Igor Tola Kogadou, a émis le vœu que les décideurs politiques « prendront les mesures qui s’imposent pour la sécurisation de ces données satellitaires »
Il faut rappeler que le mécanisme de rémunération de la REDD+ c'est-à-dire des pays qui feront des efforts pour préserver leurs forêts a été officiellement adopté à la conférence climat de Cancun en Belgique en 2010.