L’allégement de la dette accordée par tous les créanciers de la République Centrafricaine au titre de l’initiative PPTE renforcée a été révisé à la baisse par rapport à l’estimation effectuée au point de décision, de 583 millions de dollars Euro à 578 millions de dollars Eu en valeur actuelle nette (VAN). L’allégement de la dette au titre de l’initiative PPTE s’élève, en VAN, à 207 millions de dollars Eu de la part de l’IDA et à 17,19 millions de DTS (26,77 millions de dollars Eu) de la part du FMI.
En atteignant le point d’achèvement de l’initiative PPTE, la République Centrafricaine devient aussi admissible à un allégement de dette supplémentaire du FMI, de l’IDA et du Fonds Africain de Développement au titre de l’initiative d’allégement de la dette multilatérale (IDAM)/ L’allégement au titre de l’IDAM net de l’aide PPTE entraînerait une réduction minimale de la dette vis-à-vis de l’IDA et du FMI de 182 de dollars Eu et de 1,9 million de DTS (2,9 millions de dollars Eu ) respectivement.
Pour atteindre le point d’achèvement de l’initiative PPTE, la République centrafricaine a pris un certain nombre de mesures visant à élaborer et à appliquer une stratégie nationale de réduction de la pauvreté et à préserver la stabilité macroéconomique. En outre, les autorités ont bien avancé dans l’exécution des mesures dans la transparence, les réformes structurelles dans les secteurs forestiers et minier, la réforme de la fonction publique, la gestion de la dette publique, les secteurs sociaux et la lutte contre le VIH/Sida.
« Nous sommes très heureux que les conseils d’administration de la Banque mondiale et du FMI aient approuvé un allégement total de la dette de la République Centrafricaine au titre de l’Initiative PPTE et de l’IDAM », a déclaré Mary Barton-Dock, Directrice des opérations pour la République Centrafricaine à la Banque Mondiale.
« Cela confirme que la République Centrafricaine est déterminée à améliorer la gouvernance, à renforcer la transparence dans la gestion des finances publiques et de la dette, à accélérer les réformes dans les secteurs miniers, et à renforcer les programmes sociaux, comme en témoigne le respect des conditions du passage au point d’achèvement. Ces réformes sont essentielles pour accélérer la croissance économique et améliorer le niveau de vie en République Centrafricaine », a-elle souligné.
Martin Petri, Chef de mission du FMI pour la République Centrafricaine, a noté qu’il convient de féliciter les autorités d’avoir franchi cette étape importante. En dépit d’un contexte difficile au sortir d’un conflit, elles ont opéré des réformes importantes pour atteindre le point d’achèvement de l’initiative PPTE.
« L’allégement de la dette réduira sensiblement la charge de la dette du pays et permettra de dégager des ressources pour financer des dépenses dans des domaines essentiels en vue d’atteindre les objectifs du Millénaire pour le Développement », a –t-il conclu.
En atteignant le point d’achèvement de l’initiative PPTE, la République Centrafricaine devient aussi admissible à un allégement de dette supplémentaire du FMI, de l’IDA et du Fonds Africain de Développement au titre de l’initiative d’allégement de la dette multilatérale (IDAM)/ L’allégement au titre de l’IDAM net de l’aide PPTE entraînerait une réduction minimale de la dette vis-à-vis de l’IDA et du FMI de 182 de dollars Eu et de 1,9 million de DTS (2,9 millions de dollars Eu ) respectivement.
Pour atteindre le point d’achèvement de l’initiative PPTE, la République centrafricaine a pris un certain nombre de mesures visant à élaborer et à appliquer une stratégie nationale de réduction de la pauvreté et à préserver la stabilité macroéconomique. En outre, les autorités ont bien avancé dans l’exécution des mesures dans la transparence, les réformes structurelles dans les secteurs forestiers et minier, la réforme de la fonction publique, la gestion de la dette publique, les secteurs sociaux et la lutte contre le VIH/Sida.
« Nous sommes très heureux que les conseils d’administration de la Banque mondiale et du FMI aient approuvé un allégement total de la dette de la République Centrafricaine au titre de l’Initiative PPTE et de l’IDAM », a déclaré Mary Barton-Dock, Directrice des opérations pour la République Centrafricaine à la Banque Mondiale.
« Cela confirme que la République Centrafricaine est déterminée à améliorer la gouvernance, à renforcer la transparence dans la gestion des finances publiques et de la dette, à accélérer les réformes dans les secteurs miniers, et à renforcer les programmes sociaux, comme en témoigne le respect des conditions du passage au point d’achèvement. Ces réformes sont essentielles pour accélérer la croissance économique et améliorer le niveau de vie en République Centrafricaine », a-elle souligné.
Martin Petri, Chef de mission du FMI pour la République Centrafricaine, a noté qu’il convient de féliciter les autorités d’avoir franchi cette étape importante. En dépit d’un contexte difficile au sortir d’un conflit, elles ont opéré des réformes importantes pour atteindre le point d’achèvement de l’initiative PPTE.
« L’allégement de la dette réduira sensiblement la charge de la dette du pays et permettra de dégager des ressources pour financer des dépenses dans des domaines essentiels en vue d’atteindre les objectifs du Millénaire pour le Développement », a –t-il conclu.