La Représentante de l'OMS a rappelé que la présence de son institution en Centrafrique a pour but d’appuyer les efforts du gouvernement à travers le ministre de la santé.
Au sujet de la lutte contre le VIH/sida en République Centrafricaine, elle a indiqué avoir des impressions positives car il y a un engagement politique, qui est visible par la présence du Premier-ministre Simplice-Mathieu Sarandji, et un engagement des partenaires qui interviennent dans le domaine de la santé.
Selon elle, le nombre de morts liés au VIH/Sida est en régression grâce à la coopération du gouvernement centrafricain avec les partenaires qui ont appuyé les différents efforts.
« Cependant il y a encore beaucoup de défis à relever même s’il y a encore un grand nombre de personnes atteintes du VIH/Sida qui ont maintenant accès au traitement, mais il faut améliorer cet accès de par une large couverture sanitaire », a-t-elle souligné.
En Centrafrique, le constat est que la lutte contre le VIH/Sida ne concerne que les femmes, mais le message que l’OMS peut lancer, c’est que les partenaires continuent d’appuyer le gouvernement pour étendre l’accès aux services de santé principalement aux adolescents et aux jeunes femmes, a-t-elle indiqué.
Pour elle, si ces adolescents sont éduqués sur le mode de transmission du VIH/sida, cela va réduire leur vulnérabilité à être infectés par le Virus du sida et donc l’OMS entend encourager la population centrafricaine ainsi que tous les partenaires opérant en Centrafrique à investir davantage dans la santé et l’éducation des adolescents et des jeunes femmes afin d’améliorer aussi leur accessibilité aux soins de santé.
Elle a émis le vœu que d’ici 2030, la région d’Afrique soit sans VIH/sida pour qu’on arrive à une génération sans VIH/sida, il faudrait qu’il y ait non seulement la volonté politique, mais aussi un investissement pour prioriser la santé de la population atteinte du VIH/sida de manière à ce que les gens puissent avoir accès aux soins de santé quel que soit l’âge, le sexe et le coin où la personne se trouve.
Il convient de rappeler que c’est à l’occasion de la célébration en différé de la journée mondiale de la lutte contre le VIH/sida que la Représentante de l’OMS a fait cette mise au point.
Au sujet de la lutte contre le VIH/sida en République Centrafricaine, elle a indiqué avoir des impressions positives car il y a un engagement politique, qui est visible par la présence du Premier-ministre Simplice-Mathieu Sarandji, et un engagement des partenaires qui interviennent dans le domaine de la santé.
Selon elle, le nombre de morts liés au VIH/Sida est en régression grâce à la coopération du gouvernement centrafricain avec les partenaires qui ont appuyé les différents efforts.
« Cependant il y a encore beaucoup de défis à relever même s’il y a encore un grand nombre de personnes atteintes du VIH/Sida qui ont maintenant accès au traitement, mais il faut améliorer cet accès de par une large couverture sanitaire », a-t-elle souligné.
En Centrafrique, le constat est que la lutte contre le VIH/Sida ne concerne que les femmes, mais le message que l’OMS peut lancer, c’est que les partenaires continuent d’appuyer le gouvernement pour étendre l’accès aux services de santé principalement aux adolescents et aux jeunes femmes, a-t-elle indiqué.
Pour elle, si ces adolescents sont éduqués sur le mode de transmission du VIH/sida, cela va réduire leur vulnérabilité à être infectés par le Virus du sida et donc l’OMS entend encourager la population centrafricaine ainsi que tous les partenaires opérant en Centrafrique à investir davantage dans la santé et l’éducation des adolescents et des jeunes femmes afin d’améliorer aussi leur accessibilité aux soins de santé.
Elle a émis le vœu que d’ici 2030, la région d’Afrique soit sans VIH/sida pour qu’on arrive à une génération sans VIH/sida, il faudrait qu’il y ait non seulement la volonté politique, mais aussi un investissement pour prioriser la santé de la population atteinte du VIH/sida de manière à ce que les gens puissent avoir accès aux soins de santé quel que soit l’âge, le sexe et le coin où la personne se trouve.
Il convient de rappeler que c’est à l’occasion de la célébration en différé de la journée mondiale de la lutte contre le VIH/sida que la Représentante de l’OMS a fait cette mise au point.