L’objectif de l’atelier vise à renforcer la capacité des membres du Comité national leur permettant de mettre au point un certain nombre de normes pouvant garantir la traçabilité des aliments consommés dans notre pays.
La Ministre d’Etat Marie-Noëlle Koyara a déclaré que : «si aujourd’hui on parle de sécurité alimentaire dans les pays développés c’est qu’ils mettent en avant la qualité sanitaire alimentaire de leurs consommateurs ».
Par contre dans les pays africains, les gens se soucient peu de la sécurité alimentaire de leur consommateur.
Elle a invité les experts de la FAO, ceux des différents départements ministériels, les représentants des ONGs et de l’association des consommateurs à travailler d’arrache pied pour que notre pays puisse tirer bénéfice de ce projet régional dont le financement sera reparti entre le Cameroun, le Gabon et la RCA.
Aux dires du Ministre intérimaire du Commerce, Guy-Simplice Adouma-Issa, l’analyse de l’évolution socio-économique de la RCA relève de nombreux miracles liés à la sécurité sanitaire des aliments vendus et consommés par la population.
Pour lui, il faut encourager les instances publiques à assurer pleinement leur rôle de garant de la santé des populations afin de relever le défi d’une meilleure intégration des denrées alimentaires d’origine africaine dans le commerce international.
Il a exhorté le comité national et le point de contact de codex alimentarius de tout faire pour s’arrimer aux normes internationaux tels que recommandé par l’Organisation du Commerce Mondial.
La représentante de la FAO, Mme Rokhaya Daba Fall est convaincue que ce programme deviendra une réalité.
Rappelons que ce projet a été crée en 1963 et notre pays y a adhéré en 1971.
La Ministre d’Etat Marie-Noëlle Koyara a déclaré que : «si aujourd’hui on parle de sécurité alimentaire dans les pays développés c’est qu’ils mettent en avant la qualité sanitaire alimentaire de leurs consommateurs ».
Par contre dans les pays africains, les gens se soucient peu de la sécurité alimentaire de leur consommateur.
Elle a invité les experts de la FAO, ceux des différents départements ministériels, les représentants des ONGs et de l’association des consommateurs à travailler d’arrache pied pour que notre pays puisse tirer bénéfice de ce projet régional dont le financement sera reparti entre le Cameroun, le Gabon et la RCA.
Aux dires du Ministre intérimaire du Commerce, Guy-Simplice Adouma-Issa, l’analyse de l’évolution socio-économique de la RCA relève de nombreux miracles liés à la sécurité sanitaire des aliments vendus et consommés par la population.
Pour lui, il faut encourager les instances publiques à assurer pleinement leur rôle de garant de la santé des populations afin de relever le défi d’une meilleure intégration des denrées alimentaires d’origine africaine dans le commerce international.
Il a exhorté le comité national et le point de contact de codex alimentarius de tout faire pour s’arrimer aux normes internationaux tels que recommandé par l’Organisation du Commerce Mondial.
La représentante de la FAO, Mme Rokhaya Daba Fall est convaincue que ce programme deviendra une réalité.
Rappelons que ce projet a été crée en 1963 et notre pays y a adhéré en 1971.