Cette déclaration n’est rien d’autre qu’un appel lancé aux Centrafricains de tout bord d’œuvrer pour le retour de la paix et du maintien des populations peulhs en vue d’éviter la pénurie de la viande bovine dans le pays.
La Ministre Marie-Noëlle Koyara a expliqué que dans le passé, des troubles similaires avaient occasionné le départ massif des éleveurs centrafricains vers le Tchad et le Cameroun. Il a fallu plusieurs années pour les convaincre à revenir sur le territoire.
Elle a justifié le manque d’approvisionnement des marchés de Bangui en viande de boucherie par le départ massif des éleveurs en direction des pays voisins et leur peur de sortir hors de leur lieu de campement.
Selon elle, l’approvisionnement des marchés de Bangui en viande de bœufs via les réseaux clandestins est un risque pour la santé de nos concitoyens.
Autre conséquence du départ des éleveurs Bororo, c’est le non approvisionnement des zones agro-pastorales en bétail pour la culture attelée.
Elle a souligné que les partenaires au développement ont mobilisé des ressources nécessaires au profit des paysans qui pratiquent la culture attelée. « Nous avons les moyens financiers, mais nous n’avons pas les bœufs » a-t-elle allégué.
Mme Marie-Noëlle Koyara a plaidé pour que les agriculteurs et les éleveurs vivent en symbiose en vue de la relance des activités agropastorales pour l’année 2014.
Elle a émis le vœu de voir s’instaurer la paix et la sécurité pour permettre aux commerçants à bétail de s’approvisionner en troupeaux de bœufs.
La Ministre Marie-Noëlle Koyara a expliqué que dans le passé, des troubles similaires avaient occasionné le départ massif des éleveurs centrafricains vers le Tchad et le Cameroun. Il a fallu plusieurs années pour les convaincre à revenir sur le territoire.
Elle a justifié le manque d’approvisionnement des marchés de Bangui en viande de boucherie par le départ massif des éleveurs en direction des pays voisins et leur peur de sortir hors de leur lieu de campement.
Selon elle, l’approvisionnement des marchés de Bangui en viande de bœufs via les réseaux clandestins est un risque pour la santé de nos concitoyens.
Autre conséquence du départ des éleveurs Bororo, c’est le non approvisionnement des zones agro-pastorales en bétail pour la culture attelée.
Elle a souligné que les partenaires au développement ont mobilisé des ressources nécessaires au profit des paysans qui pratiquent la culture attelée. « Nous avons les moyens financiers, mais nous n’avons pas les bœufs » a-t-elle allégué.
Mme Marie-Noëlle Koyara a plaidé pour que les agriculteurs et les éleveurs vivent en symbiose en vue de la relance des activités agropastorales pour l’année 2014.
Elle a émis le vœu de voir s’instaurer la paix et la sécurité pour permettre aux commerçants à bétail de s’approvisionner en troupeaux de bœufs.