Ces deux institutions onusiennes ont interpellé les groupes armés sur leurs agissements qui constituent en fait des graves violations des droits de l’enfance et qui hypothèquent par là même l'avenir des enfants.
La MINUSCA et l’UNICEF appellent tous les groupes armés à émettre des directives qui promeuvent la protection des civils et des enfants, et exigent la libération de tous les enfants associés.
Ils ont pris acte de la décision du Front populaire pour la renaissance de Centrafrique (FPRC) du 13 mai 2017, demandant le strict respect et l’application de l’Accord de 2015 par ses éléments avec pour conséquence de recenser et dissocier de leur rang tous les enfants âgés de moins 18 ans.
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« Le groupe armé s’est engagé aussi à faciliter l’accès, la libre circulation et la sécurité des équipes techniques chargées de mener des missions de contrôle », a ajouté le porte-parole de la MINUSCA, Vladimir Montéiro.
Il a estimé que la décision du FPRC constitue un pas en avant vers le respect des droits des enfants en Centrafrique, mais rappelle que la majorité des enfants centrafricains, qu’ils soient membres des groupes armés ou non, continuent à être les principales victimes des violences provoquées par les groupes armés.
« La MINUSCA réaffirme son engagement à poursuivre sa campagne de sensibilisation aux côtés d’autres partenaires, notamment le groupe de travail de l’équipe des Nations Unies en vue de la protection des enfants en période de conflits », a-t-il indiqué.
Il convient de noter que les Porte-paroles de la MINUSCA, dont ceux de la Force de Défense et de la Police, ont saisi cette opportunité pour dresser le bilan des activités civiles et militaires réalisées dans la semaine écoulée en République Centrafricaine.
La MINUSCA et l’UNICEF appellent tous les groupes armés à émettre des directives qui promeuvent la protection des civils et des enfants, et exigent la libération de tous les enfants associés.
Ils ont pris acte de la décision du Front populaire pour la renaissance de Centrafrique (FPRC) du 13 mai 2017, demandant le strict respect et l’application de l’Accord de 2015 par ses éléments avec pour conséquence de recenser et dissocier de leur rang tous les enfants âgés de moins 18 ans.
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« Le groupe armé s’est engagé aussi à faciliter l’accès, la libre circulation et la sécurité des équipes techniques chargées de mener des missions de contrôle », a ajouté le porte-parole de la MINUSCA, Vladimir Montéiro.
Il a estimé que la décision du FPRC constitue un pas en avant vers le respect des droits des enfants en Centrafrique, mais rappelle que la majorité des enfants centrafricains, qu’ils soient membres des groupes armés ou non, continuent à être les principales victimes des violences provoquées par les groupes armés.
« La MINUSCA réaffirme son engagement à poursuivre sa campagne de sensibilisation aux côtés d’autres partenaires, notamment le groupe de travail de l’équipe des Nations Unies en vue de la protection des enfants en période de conflits », a-t-il indiqué.
Il convient de noter que les Porte-paroles de la MINUSCA, dont ceux de la Force de Défense et de la Police, ont saisi cette opportunité pour dresser le bilan des activités civiles et militaires réalisées dans la semaine écoulée en République Centrafricaine.