Il s’agit de vingt et un (21) étudiants spécialistes repartis dans les filières suivantes quatre en biologie médicale; six en Chirurgie; cinq en Gynécologie; et dix en Pédiatrie qui seront formés pendant quatre (4) ans.
« En hissant l’Enseignement Supérieur et la Recherche Scientifique en un ministère d’Etat, le Président François Bozizé veut faire de l’Université de Bangui un temple des connaissances et le fer de lance du progrès pour l’émancipation du peuple Centrafricain », a indiqué le ministre d’Etat.
« En raison de l’importance et de la rapidité des changements auxquels nous assistons la société est fondée sur le savoir, de sorte que l’Enseignement supérieur et la recherche sont désormais des composants essentiels aux développements culturels, socio-économiques et écologiquement viable des communautés et des Nations », a-t-il fait savoir.
Selon le ministre d’Etat, Jean Wilibiro Sacko, l’Université de Bangui est entrain de renforcer ses fonctions de services de société visant à éliminer la pauvreté, l’intolérance, la violence, l’analphabétisme et la maladie par une approche interdisciplinaire de l’analyse des problèmes.
Il a affirmé que la Faculté des Sciences et de Santé (FACSS) mettra d’ici quatre ans à la disposition de la population centrafricaine des médecins spécialistes en Biologie médicale ; Chirurgie générale, Gynécologie-Obstétrique, Pédiatrie et Santé Publique.
Il a réitéré que le droit à la santé du peuple centrafricain fait partie des priorités du gouvernement. Car, a-t-il admis « il s’agit pour nous de promouvoir la santé dans les ménages, la communauté et sur les lieux de travail ».
Le Recteur de l’Université de Bangui, le Pr. Gustave Bobossi Séréngbé a souligné que, la demande sociale de la population Centrafricaine s’exprime d’une manière forte et appelle à une transformation rapide des établissements centrafricains qui doivent renforcer leur capacité propre de gestion et mettre en place des systèmes d’information ainsi que des dispositions de suivi plus performants.
Estimant que, les filières de spécialités médicales sont nécessaires, car,a expliqué Gustave Bobossi Séréngbé, le monde est confronté à de multiples défis pathologiques et à de problèmes nouveaux de santé : mutations économiques, politiques et culturelles.
« L’évolution de l’état de santé, réaménagement des politiques dans le sens de la décentralisation, le renchérissement constant des soins de santé l’amenuisement des perspectives d’accès universel sont autant d’axes critiques de mes préoccupations.», a-t-il dit.
Il a précisé que la politique de santé en Centrafrique retenue par le gouvernement consiste à vaincre les maladies liées à la pauvreté, à l’exclusion et à l’ignorance. Les différents groupes à risque ne mourront plus des maladies évitables.
Il faut rappeler que la Faculté des Sciences de Santé (FACSS) a été créée en 1976 et a formé plus de quatre cent médecins généralistes.
« En hissant l’Enseignement Supérieur et la Recherche Scientifique en un ministère d’Etat, le Président François Bozizé veut faire de l’Université de Bangui un temple des connaissances et le fer de lance du progrès pour l’émancipation du peuple Centrafricain », a indiqué le ministre d’Etat.
« En raison de l’importance et de la rapidité des changements auxquels nous assistons la société est fondée sur le savoir, de sorte que l’Enseignement supérieur et la recherche sont désormais des composants essentiels aux développements culturels, socio-économiques et écologiquement viable des communautés et des Nations », a-t-il fait savoir.
Selon le ministre d’Etat, Jean Wilibiro Sacko, l’Université de Bangui est entrain de renforcer ses fonctions de services de société visant à éliminer la pauvreté, l’intolérance, la violence, l’analphabétisme et la maladie par une approche interdisciplinaire de l’analyse des problèmes.
Il a affirmé que la Faculté des Sciences et de Santé (FACSS) mettra d’ici quatre ans à la disposition de la population centrafricaine des médecins spécialistes en Biologie médicale ; Chirurgie générale, Gynécologie-Obstétrique, Pédiatrie et Santé Publique.
Il a réitéré que le droit à la santé du peuple centrafricain fait partie des priorités du gouvernement. Car, a-t-il admis « il s’agit pour nous de promouvoir la santé dans les ménages, la communauté et sur les lieux de travail ».
Le Recteur de l’Université de Bangui, le Pr. Gustave Bobossi Séréngbé a souligné que, la demande sociale de la population Centrafricaine s’exprime d’une manière forte et appelle à une transformation rapide des établissements centrafricains qui doivent renforcer leur capacité propre de gestion et mettre en place des systèmes d’information ainsi que des dispositions de suivi plus performants.
Estimant que, les filières de spécialités médicales sont nécessaires, car,a expliqué Gustave Bobossi Séréngbé, le monde est confronté à de multiples défis pathologiques et à de problèmes nouveaux de santé : mutations économiques, politiques et culturelles.
« L’évolution de l’état de santé, réaménagement des politiques dans le sens de la décentralisation, le renchérissement constant des soins de santé l’amenuisement des perspectives d’accès universel sont autant d’axes critiques de mes préoccupations.», a-t-il dit.
Il a précisé que la politique de santé en Centrafrique retenue par le gouvernement consiste à vaincre les maladies liées à la pauvreté, à l’exclusion et à l’ignorance. Les différents groupes à risque ne mourront plus des maladies évitables.
Il faut rappeler que la Faculté des Sciences de Santé (FACSS) a été créée en 1976 et a formé plus de quatre cent médecins généralistes.