L’objectif de cet atelier est de sensibiliser les élus de la nation et le personnel administratif parlementaire sur la sécurité alimentaire et nutritionnelle, leur expliquer les raisons du positionnement du parlement dans la lutte contre la malnutrition et la famine en République Centrafricaine.
Selon la représentante de la FAO, Mme Perpétue Katepa Kalala, évoquer la question de la nutrition, c’est chercher à fournir au pays des ressources humaines doter de tous son potentiel mental et physique indispensable au développement réel d’une nation.
Elle a expliqué qu’au moment où le monde identifie l’Afrique comme le continent ayant des ressources naturelles abondantes et l’endroit prometteur pour couvrir une alimentation sainte et suffisante pour nourrir sa population, les Nations-Unies déclarent la faim et la malnutrition qui frappent de plein fouet plus de 257 millions de personnes dans les communautés africaines.
Mme Perpétue Katepa Kalala a reconnu que l’Afrique centrale reste parmi les zones les plus touchées et la République Centrafricaine n’est pas en marge, plus de 45% de décès des enfants sont imputables à la malnutrition.
« C’est à cet effet que nous réitérons nos engagements à travailler aux côtés du gouvernement centrafricain, afin de réduire les effets de la malnutrition », a déclaré la représentante de la FAO, Mme Perpétue Katepa Kalala.
Elle poursuit que le conseil des Nations-Unies est conscient que ce combat qui nécessite une synergie d’actions et d’interventions déclarée en mars 2016, la décennie des Nations-Unies pour la nutrition.
Selon elle, cette décennie fait appel à un changement radical de stratégie de la lutte contre la malnutrition, promeut l’approche multi-acteurs et multisectoriels, s’appuyant sur les réalités locales. La République Centrafricaine à l’instar des autres pays du monde a répondue à l’appel de la communauté internationale, afin d’unir ses efforts avec les différents acteurs du secteur public, privé, de la société civile, des organisations non gouvernementales et du pouvoir législatif, afin de mener en synergie la lutte contre la malnutrition et l’insécurité alimentaire et de faire du droit à l’alimentation une réalité effective.
En réponse, le Président de l’Assemblée nationale, l’Honorable Simplice Mathieu Sarandji en sa qualité du président de l’Alliance parlementaire de la République Centrafricaine pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle, a félicité l’initiative de la FAO qui est un partenaire très important et privilégié de la République Centrafricaine en matière de la lutte contre la faim et la malnutrition.
Il reconnait que la malnutrition et la famine sont des maux qui continuent de faire subir aux enfants centrafricains des pires souffrances permanentes et régulières.
Le Président de l’Assemblée nationale a exhorté les participants à prendre au sérieux la thématique proposée par le partenaire en apportant de vives participations dans cet atelier, afin de booster la question de la faim et de la malnutrition hors de la République Centrafricaine.
Notons que les participants vont s’atteler sur plusieurs thématiques, entre autres, les causes, effets et conséquences de la malnutrition, la situation malnutritionnelle en Centrafrique et surtout l’implication des parlementaires dans la lutte contre la malnutrition.
Selon la représentante de la FAO, Mme Perpétue Katepa Kalala, évoquer la question de la nutrition, c’est chercher à fournir au pays des ressources humaines doter de tous son potentiel mental et physique indispensable au développement réel d’une nation.
Elle a expliqué qu’au moment où le monde identifie l’Afrique comme le continent ayant des ressources naturelles abondantes et l’endroit prometteur pour couvrir une alimentation sainte et suffisante pour nourrir sa population, les Nations-Unies déclarent la faim et la malnutrition qui frappent de plein fouet plus de 257 millions de personnes dans les communautés africaines.
Mme Perpétue Katepa Kalala a reconnu que l’Afrique centrale reste parmi les zones les plus touchées et la République Centrafricaine n’est pas en marge, plus de 45% de décès des enfants sont imputables à la malnutrition.
« C’est à cet effet que nous réitérons nos engagements à travailler aux côtés du gouvernement centrafricain, afin de réduire les effets de la malnutrition », a déclaré la représentante de la FAO, Mme Perpétue Katepa Kalala.
Elle poursuit que le conseil des Nations-Unies est conscient que ce combat qui nécessite une synergie d’actions et d’interventions déclarée en mars 2016, la décennie des Nations-Unies pour la nutrition.
Selon elle, cette décennie fait appel à un changement radical de stratégie de la lutte contre la malnutrition, promeut l’approche multi-acteurs et multisectoriels, s’appuyant sur les réalités locales. La République Centrafricaine à l’instar des autres pays du monde a répondue à l’appel de la communauté internationale, afin d’unir ses efforts avec les différents acteurs du secteur public, privé, de la société civile, des organisations non gouvernementales et du pouvoir législatif, afin de mener en synergie la lutte contre la malnutrition et l’insécurité alimentaire et de faire du droit à l’alimentation une réalité effective.
En réponse, le Président de l’Assemblée nationale, l’Honorable Simplice Mathieu Sarandji en sa qualité du président de l’Alliance parlementaire de la République Centrafricaine pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle, a félicité l’initiative de la FAO qui est un partenaire très important et privilégié de la République Centrafricaine en matière de la lutte contre la faim et la malnutrition.
Il reconnait que la malnutrition et la famine sont des maux qui continuent de faire subir aux enfants centrafricains des pires souffrances permanentes et régulières.
Le Président de l’Assemblée nationale a exhorté les participants à prendre au sérieux la thématique proposée par le partenaire en apportant de vives participations dans cet atelier, afin de booster la question de la faim et de la malnutrition hors de la République Centrafricaine.
Notons que les participants vont s’atteler sur plusieurs thématiques, entre autres, les causes, effets et conséquences de la malnutrition, la situation malnutritionnelle en Centrafrique et surtout l’implication des parlementaires dans la lutte contre la malnutrition.