Selon le Procureur général, Nicaise Foukpio, les actes de violences basées sur le genre (VBG) sont devenues monnaie courante en République Centrafricaine. Le procès de M. Mapouka, âgé de 53 ans, qui a perpétré cet acte sur une petite fille scolarisée de 11ans démontrent à suffisance cette assertion.
Le procureur général a proposé une peine de 15 ans de travaux forcés contre l'accusé et une amende de 10 millions de francs CFA.
Par contre, maître Mathias Morouba qui assure la défense de l'accusé a plaidé pour l'acquittement de son client au bénéfice du doute, car a- t- il dit, "le dossier de son client est vide de sens et qu'il y’ a absence de preuves matérielles sur l’accusation".
L’avocat de la partie civile, maître Maléngapou à quant à elle fait savoir que l’acte posé par l’accusé Alphonse Mapouka est strictement puni par l’article 87 du code pénal de la République Centrafricaine et qu'il mérite la peine prononcée par la cour criminelle.
Il est à noter que les faits se sont déroulés le 13 mai 2016 au quartier Ngaragba dans le 7ème arrondissement de Bangui.
Le procureur général a proposé une peine de 15 ans de travaux forcés contre l'accusé et une amende de 10 millions de francs CFA.
Par contre, maître Mathias Morouba qui assure la défense de l'accusé a plaidé pour l'acquittement de son client au bénéfice du doute, car a- t- il dit, "le dossier de son client est vide de sens et qu'il y’ a absence de preuves matérielles sur l’accusation".
L’avocat de la partie civile, maître Maléngapou à quant à elle fait savoir que l’acte posé par l’accusé Alphonse Mapouka est strictement puni par l’article 87 du code pénal de la République Centrafricaine et qu'il mérite la peine prononcée par la cour criminelle.
Il est à noter que les faits se sont déroulés le 13 mai 2016 au quartier Ngaragba dans le 7ème arrondissement de Bangui.