Cette caravane vise à sensibiliser pendant trois jours, la population centrafricaine sur les activités de la COMNAT-ALPC en vue de les pousser à prendre conscience, afin de se rendre compte des méfaits de la détention illégale des armes par des civiles dans la société.
Selon le président de la COMNAT-ALPC Benjamin Saraganza, cette campagne de sensibilisation de trois jours concerne les populations de Bangui, Bimbo et Bégoua.
« Nous espérons bien, car selon la culture orale africaine, l’échange direct est le meilleur moyen de se faire comprendre. C’est dans cette perspective que nous avions voulu faire de cette caravane une chance pour permettre à nos frères et sœurs centrafricains, l’importance de se débarrasser volontairement des armes qui sont nuisibles pour une société comme la nôtre », a déclaré le président Saraganza.
« Les armes dans de mauvaises mains, causent beaucoup de dégâts. Et détenir une arme illégalement est condamné par la loi. Seules les forces conventionnelles, les forces de défense et de sécurité sont autorisées à détenir les armes de guerre », a – t – il conclut.
Notons que cette campagne a débuté il y a deux mois en République Centrafricaine, par des séries de réunions avec les autorités locales de certaines zones de la capitale Bangui.
Selon le président de la COMNAT-ALPC Benjamin Saraganza, cette campagne de sensibilisation de trois jours concerne les populations de Bangui, Bimbo et Bégoua.
« Nous espérons bien, car selon la culture orale africaine, l’échange direct est le meilleur moyen de se faire comprendre. C’est dans cette perspective que nous avions voulu faire de cette caravane une chance pour permettre à nos frères et sœurs centrafricains, l’importance de se débarrasser volontairement des armes qui sont nuisibles pour une société comme la nôtre », a déclaré le président Saraganza.
« Les armes dans de mauvaises mains, causent beaucoup de dégâts. Et détenir une arme illégalement est condamné par la loi. Seules les forces conventionnelles, les forces de défense et de sécurité sont autorisées à détenir les armes de guerre », a – t – il conclut.
Notons que cette campagne a débuté il y a deux mois en République Centrafricaine, par des séries de réunions avec les autorités locales de certaines zones de la capitale Bangui.