L'économiste en chef Albert Zeufack lors de la visioconférence
L’objectif de cette vidéoconférence, sur une croissance modeste pour l'Afrique subsaharienne, est de présenter le rapport semestriel de la Banque mondiale sur l'analyse de l'état des économies africaines.
Les pays africains ont à déployer des efforts pour améliorer la qualité de leurs dépenses afin de les rendre efficaces et efficientes, a souligné Albert Zeufack, précisant que sur plusieurs dimensions clés, les progrès sont timides, signe qu’il faut accorder davantage d’importance aux réformes structurelles.
Il a annoncé la croissance économique en Afrique subsaharienne qui devrait se fixer à 2,6% en 2017, contre 1,3% en 2016, suivant la dernière édition d Africa's pulse (un rapport semestriel de la Banque mondiale analysant l'état des économies africaines).
Après avoir fait l'état de lieux des réalisations en Afrique, l’expert de la Banque mondiale a souhaité que des efforts soient consentis, tout en insistant sur la nécessité de la création de l'agenda des investisseurs pour la création des entreprises, de façon à les attirer pour qu'ils participent à la création d'emplois dans les pays concernés. Le but visé par les réformes est la quête de la prospérité dans les pays.
Il a fait allusion à l'action de répertorier des critères qui permettront de procéder au classement des pays. La République Centrafricaine, faut-il le préciser, n'est pas épargnée, surtout que ce pays dispose d’énormes potentialités qui nécessitent d'être positivement exploitées.
Il faut noter que la vidéoconférence de la Banque mondiale est suivie par les journalistes des pays tels que le Cameroun, le Congo Brazzaville, le Mali, le Sénégal, le Burundi, le Gabon et la RD Congo, le Tchad et la République Centrafricaine.
Les pays africains ont à déployer des efforts pour améliorer la qualité de leurs dépenses afin de les rendre efficaces et efficientes, a souligné Albert Zeufack, précisant que sur plusieurs dimensions clés, les progrès sont timides, signe qu’il faut accorder davantage d’importance aux réformes structurelles.
Il a annoncé la croissance économique en Afrique subsaharienne qui devrait se fixer à 2,6% en 2017, contre 1,3% en 2016, suivant la dernière édition d Africa's pulse (un rapport semestriel de la Banque mondiale analysant l'état des économies africaines).
Après avoir fait l'état de lieux des réalisations en Afrique, l’expert de la Banque mondiale a souhaité que des efforts soient consentis, tout en insistant sur la nécessité de la création de l'agenda des investisseurs pour la création des entreprises, de façon à les attirer pour qu'ils participent à la création d'emplois dans les pays concernés. Le but visé par les réformes est la quête de la prospérité dans les pays.
Il a fait allusion à l'action de répertorier des critères qui permettront de procéder au classement des pays. La République Centrafricaine, faut-il le préciser, n'est pas épargnée, surtout que ce pays dispose d’énormes potentialités qui nécessitent d'être positivement exploitées.
Il faut noter que la vidéoconférence de la Banque mondiale est suivie par les journalistes des pays tels que le Cameroun, le Congo Brazzaville, le Mali, le Sénégal, le Burundi, le Gabon et la RD Congo, le Tchad et la République Centrafricaine.