Dans une déclaration rendue publique lors de cette assemblée générale, l'UFVN justifie sa décision par le dépôt sur le bureau de l'Assemblée Nationale de trois projets de loi d'amnistie, dont l’un « exclut de fait les responsables politiques et les responsables des rébellions pour les actes commis avant le 15 mars 2003 ».
Un autre parmi les trois projets « envisage l’amnistie des éléments tristement célèbres de sa garde prétorienne », relève également la déclaration, qui reproche par ailleurs au décret fixant la composition du Comité d’organisation du Dialogue Politique Inclusif d'être pris en violation des principes du consensus et de la parité convenus pour l’ensemble des acteurs à ce dialogue.
En conséquence de quoi, L’UFVN a demandé "à l’Assemblée Nationale de rejeter ces projets de loi pour leur esprit contraire aux intérêts supérieurs de la nation en péril", de même qu'elle a appelé la communauté internationale "à obtenir du Président François Bozizé le retrait de ces projets de lois scélérats, et la rédaction par tous les protagonistes de la crise de projets de loi d’amnistie consensuels".
La réaction de l'UFVN intervient au lendemain de l'ouverture d'une session extraordinaire de l'Assemblée Nationale, prévue pour lever le dernier obstacle à la tenue à Bangui du Dialogue Politique Inclusif, à savoir une loie d'amnistie permettant aux exilés et aux groupes rebelles en délicatesse avec la justice de prendre part à ce forum.
Un autre parmi les trois projets « envisage l’amnistie des éléments tristement célèbres de sa garde prétorienne », relève également la déclaration, qui reproche par ailleurs au décret fixant la composition du Comité d’organisation du Dialogue Politique Inclusif d'être pris en violation des principes du consensus et de la parité convenus pour l’ensemble des acteurs à ce dialogue.
En conséquence de quoi, L’UFVN a demandé "à l’Assemblée Nationale de rejeter ces projets de loi pour leur esprit contraire aux intérêts supérieurs de la nation en péril", de même qu'elle a appelé la communauté internationale "à obtenir du Président François Bozizé le retrait de ces projets de lois scélérats, et la rédaction par tous les protagonistes de la crise de projets de loi d’amnistie consensuels".
La réaction de l'UFVN intervient au lendemain de l'ouverture d'une session extraordinaire de l'Assemblée Nationale, prévue pour lever le dernier obstacle à la tenue à Bangui du Dialogue Politique Inclusif, à savoir une loie d'amnistie permettant aux exilés et aux groupes rebelles en délicatesse avec la justice de prendre part à ce forum.