L’enjeu de cet atelier est de partager l’ensemble des aspects intéressant la mise en œuvre du PROFADEL ; de faire l’état des lieux de la décentralisation et du développement local en Centrafrique ; de consolider les axes stratégiques du PROFADEL ; d’échanger sur le mode opératoire de l’organisme relais ; d’élaborer un cadre logique des interventions et d’établir un calendrier de travail du premier semestre 2012.
La ministre Dorothée Aimée Malénzapa, a dans ses propos, souligné que l’OIF, à travers le PROFADEL, est en train de proposer une nouvelle approche visant à promouvoir dans les pays en développement des politiques de développement et programmes nationaux réellement axés sur la prise en compte des aspirations des communautés de base.
Pour sa part, le Directeur du Développement durable et de la Solidarité de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), Etienne Alingué, a établi une nette distinction entre « la francophonie numérique ou de l’éducation, et la francophonie économique pour laquelle le Secrétaire Général développe des plaidoyers autour des questions importantes comme la construction d’une mondialisation plus humaine, les financements innovants en faveur des acteurs bien identifiés, comme les communautés de base, afin que les mutations économiques ne marginalisent personne ».
Il a ensuite affirmé que le PROFADEL est un outil devant permettre aux communautés de base d’être les principaux acteurs de ce programme car, a-t-il poursuivi, cette approche, s’appuie sur les expériences passées du Programme Spécial de Développement (PSD), du Programme d’Appui Spécial de Développement (PASD) et repose sur les principes forts que sont l’engagement et la responsabilisation des parties au niveau central et local.
Au terme des travaux, les participants ont, entre autres, recommandé l’implication effective des autorités locales dans l’élaboration et le suivi de plan de développement de leurs communes, l’élaboration d’un manuel de procédure de gestion administrative et financière du projet de développement local et la flexibilité des bailleurs de fonds dans le décaissement des fonds.
Il est à noter que cet atelier de quarante huit heures, organisé par le ministère de la Coopération Internationale, de l’Intégration Régionale et de la Francophonie avec le concours technique et financier de l’OIF a mobilisé une quarantaine de participants dont des députés, des préfets et des maires venus des provinces.
La ministre Dorothée Aimée Malénzapa, a dans ses propos, souligné que l’OIF, à travers le PROFADEL, est en train de proposer une nouvelle approche visant à promouvoir dans les pays en développement des politiques de développement et programmes nationaux réellement axés sur la prise en compte des aspirations des communautés de base.
Pour sa part, le Directeur du Développement durable et de la Solidarité de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), Etienne Alingué, a établi une nette distinction entre « la francophonie numérique ou de l’éducation, et la francophonie économique pour laquelle le Secrétaire Général développe des plaidoyers autour des questions importantes comme la construction d’une mondialisation plus humaine, les financements innovants en faveur des acteurs bien identifiés, comme les communautés de base, afin que les mutations économiques ne marginalisent personne ».
Il a ensuite affirmé que le PROFADEL est un outil devant permettre aux communautés de base d’être les principaux acteurs de ce programme car, a-t-il poursuivi, cette approche, s’appuie sur les expériences passées du Programme Spécial de Développement (PSD), du Programme d’Appui Spécial de Développement (PASD) et repose sur les principes forts que sont l’engagement et la responsabilisation des parties au niveau central et local.
Au terme des travaux, les participants ont, entre autres, recommandé l’implication effective des autorités locales dans l’élaboration et le suivi de plan de développement de leurs communes, l’élaboration d’un manuel de procédure de gestion administrative et financière du projet de développement local et la flexibilité des bailleurs de fonds dans le décaissement des fonds.
Il est à noter que cet atelier de quarante huit heures, organisé par le ministère de la Coopération Internationale, de l’Intégration Régionale et de la Francophonie avec le concours technique et financier de l’OIF a mobilisé une quarantaine de participants dont des députés, des préfets et des maires venus des provinces.