
L’Evêque Dennis Kofi Agbenyadzi de Berbérati en compagnie des journalistes en mission
Mgr Dennis Kofi Agbenyadzi a indiqué que les déplacés internes de l’évêché, environ 3.000 chrétiens et musulmans, étaient protégés, d’abord par les forces de la Mission Internationale de Soutien à la République Centrafricaine sous conduite africaine (MISCA) puis par celles de la MINUSCA.
Il a aussi démontré que quelques déplacés internes, à leur demande, ont été convoyées jusque sur le territoire camerounais, de même que des sujets musulmans ont été reconduits, du site des déplacés internes vers leur domicile habituel au quartier Potopoto.
Pour dissuader les agresseurs, Mgr Dennis Kofi Agbenyadzi a évoqué les patrouilles mixtes des forces de sécurité intérieures ainsi que celles de la MINUSCA dans leur zone d'opération.
Selon lui, la tâche est énorme et la MINUSCA seule ne peut pas tout endosser. C’est pourquoi il a recommandé aux uns et aux autres, à des degrés divers, autorités politiques, leaders religieux, organisations de la société civile, communauté internationale, citoyens lambda, de s’impliquer sérieusement et réellement dans la quête des réponses à la crise.
Sur l’enjeu de la Cour Pénale Internationale et la Cour Pénale Spéciale, l’évêque a prôné la prudence : « ceux qu’il faut juger sont ceux qui font des trafics de diamant, qui commanditent les crises, achètent les armes, manipulent l’ignorance des jeunes en leur distribuant des armes ».
Il a aussi démontré que quelques déplacés internes, à leur demande, ont été convoyées jusque sur le territoire camerounais, de même que des sujets musulmans ont été reconduits, du site des déplacés internes vers leur domicile habituel au quartier Potopoto.
Pour dissuader les agresseurs, Mgr Dennis Kofi Agbenyadzi a évoqué les patrouilles mixtes des forces de sécurité intérieures ainsi que celles de la MINUSCA dans leur zone d'opération.
Selon lui, la tâche est énorme et la MINUSCA seule ne peut pas tout endosser. C’est pourquoi il a recommandé aux uns et aux autres, à des degrés divers, autorités politiques, leaders religieux, organisations de la société civile, communauté internationale, citoyens lambda, de s’impliquer sérieusement et réellement dans la quête des réponses à la crise.
Sur l’enjeu de la Cour Pénale Internationale et la Cour Pénale Spéciale, l’évêque a prôné la prudence : « ceux qu’il faut juger sont ceux qui font des trafics de diamant, qui commanditent les crises, achètent les armes, manipulent l’ignorance des jeunes en leur distribuant des armes ».