une nouvelle alimentation: essessan
La promotion de l’essessang en tant que Produit Forestier Non Ligneux (PFNL) vise à renforcer la sécurité alimentaire des populations vulnérables et en même temps leur procurer un revenu.
Il faut le reconnaître, les graines d’essessang, quand bien même très connues dans les zones forestières sous la dénomination de « Pomboko » ou « Nzoko » sont méconnues par les populations à la fois comme aliment et source de revenu. A ce titre, elles pourrissaient dans la forêt.
De l’avis de M. Etienne Ngounion, représentant la Représentante du Fonds des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture, « ces graines renferment les lipides, glucides protéines et calcium qui sont des éléments de base pour une alimentation équilibrée ». Raison pour laquelle, les populations du Nigeria et du Cameroun sont en avance dans la consommation et la commercialisation de ces graines.
La vente groupée de l’essessang intervient après d’autres activités initiées avec l’appui de la FAO. Il s’agit de la domestication du Gnetum ou Koko en Sango, l’approche Analyse et Développement des Marché (ADM), enfin, les techniques de transformation des graines d’essessang.
La promotion de l’essessang intervient dans le cadre du projet intitulé GCP/RAF/441/GER Renforcement de la sécurité alimentaire en Afrique centrale à travers la gestion durable des Produits Forestiers Non Ligneux (PFLN), financé par la République d’Allemagne et exécuté par la FAO.
Ce projet, couvrant la période d’octobre 2009 à septembre 2012, est exécuté dans trois pays d’Afrique centrale, à savoir le Gabon, le Congo et la République Centrafricaine. En République Centrafricaine particulièrement, ce projet a pris corps à partir d’avril 2010.
M. Rubens Nambaï a émis le vœu que “la valorisation de l’essessang puisse s’étendre sur toute la région de la Lobaye et les forêts du sud-ouest de la République Centrafricaine, puisque la vie d’une grande proportion de la population en dépend.
Il faut le reconnaître, les graines d’essessang, quand bien même très connues dans les zones forestières sous la dénomination de « Pomboko » ou « Nzoko » sont méconnues par les populations à la fois comme aliment et source de revenu. A ce titre, elles pourrissaient dans la forêt.
De l’avis de M. Etienne Ngounion, représentant la Représentante du Fonds des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture, « ces graines renferment les lipides, glucides protéines et calcium qui sont des éléments de base pour une alimentation équilibrée ». Raison pour laquelle, les populations du Nigeria et du Cameroun sont en avance dans la consommation et la commercialisation de ces graines.
La vente groupée de l’essessang intervient après d’autres activités initiées avec l’appui de la FAO. Il s’agit de la domestication du Gnetum ou Koko en Sango, l’approche Analyse et Développement des Marché (ADM), enfin, les techniques de transformation des graines d’essessang.
La promotion de l’essessang intervient dans le cadre du projet intitulé GCP/RAF/441/GER Renforcement de la sécurité alimentaire en Afrique centrale à travers la gestion durable des Produits Forestiers Non Ligneux (PFLN), financé par la République d’Allemagne et exécuté par la FAO.
Ce projet, couvrant la période d’octobre 2009 à septembre 2012, est exécuté dans trois pays d’Afrique centrale, à savoir le Gabon, le Congo et la République Centrafricaine. En République Centrafricaine particulièrement, ce projet a pris corps à partir d’avril 2010.
M. Rubens Nambaï a émis le vœu que “la valorisation de l’essessang puisse s’étendre sur toute la région de la Lobaye et les forêts du sud-ouest de la République Centrafricaine, puisque la vie d’une grande proportion de la population en dépend.