Une vue des participants pendant la réunion
L’objectif de cette rencontre est de présenter le processus du DDRR aux autorités locales et à la communauté représentée par la jeunesse et les conducteurs de taxi-motos afin de susciter leur adhésion au programme en vue de sensibiliser à leur tour les combattants.
Le maire de Bouar, Lazare Nambena, a déclaré que le gouvernement compte sur le DDRR pour renouer avec la paix, la réconciliation et la cohésion sociale en République Centrafricaine.
Pour le chargé de mission en relation avec les groupes armés, le colonel Martin Gbebondi, cette rencontre est une occasion pour interpeller les participants sur le rôle important que doit jouer chacun dans le processus DDRR afin de bien sensibiliser les habitants de la Nana Mambéré.
Selon le chargé de communication de l’unité d’exécution du Programme national du DDRR, Benjamin Aymar Ngregbamba Yanguere, ce Programme national de désarmement, démobilisation réintégration et rapatriement(PNDDRR) comporte un volet réintégration dans les corps en uniforme (armée, gendarmerie, police, douane, eaux et forêts), tandis qu’un autre volet concerne la réintégration socio-économique et un autre encore le rapatriement des combattants étrangers dans leurs pays d’origine.
Il a par ailleurs insisté sur les critères d’éligibilité au processus DDRR, lesquels ont suscité beaucoup de questions des participants.
Conduit par l’Unité d’Exécution du Programme National de Désarmement, Démobilisation Réintégration et Rapatriement (UEPNDDRR), appuyée par la MINUSCA, le programme DDRR est financé par la communauté internationale, notamment la Banque mondiale, la CEMAC, l’Union européenne, la France et le gouvernement américain.
Le maire de Bouar, Lazare Nambena, a déclaré que le gouvernement compte sur le DDRR pour renouer avec la paix, la réconciliation et la cohésion sociale en République Centrafricaine.
Pour le chargé de mission en relation avec les groupes armés, le colonel Martin Gbebondi, cette rencontre est une occasion pour interpeller les participants sur le rôle important que doit jouer chacun dans le processus DDRR afin de bien sensibiliser les habitants de la Nana Mambéré.
Selon le chargé de communication de l’unité d’exécution du Programme national du DDRR, Benjamin Aymar Ngregbamba Yanguere, ce Programme national de désarmement, démobilisation réintégration et rapatriement(PNDDRR) comporte un volet réintégration dans les corps en uniforme (armée, gendarmerie, police, douane, eaux et forêts), tandis qu’un autre volet concerne la réintégration socio-économique et un autre encore le rapatriement des combattants étrangers dans leurs pays d’origine.
Il a par ailleurs insisté sur les critères d’éligibilité au processus DDRR, lesquels ont suscité beaucoup de questions des participants.
Conduit par l’Unité d’Exécution du Programme National de Désarmement, Démobilisation Réintégration et Rapatriement (UEPNDDRR), appuyée par la MINUSCA, le programme DDRR est financé par la communauté internationale, notamment la Banque mondiale, la CEMAC, l’Union européenne, la France et le gouvernement américain.