"Forte de son attractivité croissante, notre économie se caractérise désormais par la stabilité de ses fondamentaux macroéconomiques, l'ouverture de plus en plus confirmée de son espace économique (...) et enfin la pertinence d'un modèle de croissance animé par la vigueur d'une demande intérieure qui nous a permis de faire valoir une grande capacité de résilience face à la crise économique mondiale", a dit M. Baraka à l'ouverture du 4-ème congrès national du Centre des jeunes dirigeants d'entreprises (CJD).
Il a également rappelé les importantes avancées réalisées par le Maroc ces dernières années avec la consolidation d'une croissance diversifiée à plus de 6 pc en 2008, soulignant que "ces opportunités ne sont que la simple résultante du mouvement de transformation mené ces dernières années sous la Haute impulsion de SM le Roi, dans le but d'offrir l'assurance d'une croissance équitable, à fort potentiel, et à large spectre qui ne laissera aucun de nous en marge du progrès social".
Le ministre a, par ailleurs, affirmé que le Maroc "a besoin de la contribution Productive" des jeunes managers "pour accompagner l'accélération des plans de développement sectoriels qui va générer de plus en plus d'opportunités d'investissement dans des domaines aussi divers et variés tels que l'offshoring, l'ingénierie bancaire, l'hô tellerie, le bâtiment ou encore l'agro-industrie".
"Il est de notre devoir de rassurer et de tout faire pour coacher et donner la visibilité à ces créateurs, accompagner leurs entreprises et faciliter toute démarche eutrepreunariale mue par le dépassement des difficultés du moment", a-t-il relevé.
M. Baraka a dans le même sens indiqué que le gouvernement oeuvrera à "l'encouragement, la facilitation et la mise à disposition des moyens nécessaires à l'émergence d'activités génératrices de revenus à travers la reconfiguration des programmes d'insertion, Idmaj et Taahil et la dynamisation du programme Moukawalati".
Intervenant lors de cette rencontre organisée sous le thème "Entreprendre, Quelle audace", le président du CJD, M. Ali Fahim a souligné l'importance du thème choisi pour cette rencontre notamment dans un contexte marqué par les effets de la crise économique mondiale.
Cette rencontre de deux jours se veut une occasion pour examiner les moyens à même de renforcer la présence des entreprises marocaines à l'étranger, a-t-il dit.
Plus de 200 participants représentant l'Algérie, la Tunisie, la France, l'Espagne et le Maroc prennent part à ce congrès qui se veut une occasion de partager et de débattre dans un cadre exceptionnel, de la culture de l'audace d'entreprendre et ce, avec des acteurs nationaux et internationaux de grande qualité.
Créé en 2001 au Maroc, le CJD est un mouvement de jeunes qui rassemble plus de 200 chefs d'entreprise et cadres dirigeants ayant pour objectif de contribuer à changer les mentalités pour un développement durable.
Il a également rappelé les importantes avancées réalisées par le Maroc ces dernières années avec la consolidation d'une croissance diversifiée à plus de 6 pc en 2008, soulignant que "ces opportunités ne sont que la simple résultante du mouvement de transformation mené ces dernières années sous la Haute impulsion de SM le Roi, dans le but d'offrir l'assurance d'une croissance équitable, à fort potentiel, et à large spectre qui ne laissera aucun de nous en marge du progrès social".
Le ministre a, par ailleurs, affirmé que le Maroc "a besoin de la contribution Productive" des jeunes managers "pour accompagner l'accélération des plans de développement sectoriels qui va générer de plus en plus d'opportunités d'investissement dans des domaines aussi divers et variés tels que l'offshoring, l'ingénierie bancaire, l'hô tellerie, le bâtiment ou encore l'agro-industrie".
"Il est de notre devoir de rassurer et de tout faire pour coacher et donner la visibilité à ces créateurs, accompagner leurs entreprises et faciliter toute démarche eutrepreunariale mue par le dépassement des difficultés du moment", a-t-il relevé.
M. Baraka a dans le même sens indiqué que le gouvernement oeuvrera à "l'encouragement, la facilitation et la mise à disposition des moyens nécessaires à l'émergence d'activités génératrices de revenus à travers la reconfiguration des programmes d'insertion, Idmaj et Taahil et la dynamisation du programme Moukawalati".
Intervenant lors de cette rencontre organisée sous le thème "Entreprendre, Quelle audace", le président du CJD, M. Ali Fahim a souligné l'importance du thème choisi pour cette rencontre notamment dans un contexte marqué par les effets de la crise économique mondiale.
Cette rencontre de deux jours se veut une occasion pour examiner les moyens à même de renforcer la présence des entreprises marocaines à l'étranger, a-t-il dit.
Plus de 200 participants représentant l'Algérie, la Tunisie, la France, l'Espagne et le Maroc prennent part à ce congrès qui se veut une occasion de partager et de débattre dans un cadre exceptionnel, de la culture de l'audace d'entreprendre et ce, avec des acteurs nationaux et internationaux de grande qualité.
Créé en 2001 au Maroc, le CJD est un mouvement de jeunes qui rassemble plus de 200 chefs d'entreprise et cadres dirigeants ayant pour objectif de contribuer à changer les mentalités pour un développement durable.