L'artiste musicien Ozagin OZ à la tribune des Nations unies à Genève en Suisse
Le même appel est lancé en faveur du gouvernement, censé mettre en œuvre une politique de restauration de l'autorité de l'Etat sur toute l'étendue du territoire et surtout promouvoir une stratégie d'autosuffisance alimentaire.
D'après un membre de la délégation joint par l'ACAP, M. Ozaguin s'est appesanti sur le grand nombre des Centrafricains qui ont besoin d'une assistance humanitaire intensive. Ils sont environ 4,8 millions à être menacés par l'insécurité alimentaire.
Pour étayer ses propos, M. Ozaguin a décrit les misérables conditions de vie des populations sur les nombreux sites de déplacés internes disséminés sur le territoire, lesquels déplacés sont incapables de vaquer librement à leurs activités ordinaires, comme par exemple se rendre dans les champs, aller à la pêche ou mener des activités de cueillette.
Sur les sites, a ajouté M. Ozaguin, les personnes déplacées dépendent littéralement de la bienfaisance des travailleurs humanitaires qui fournissent des vivres ou participent à des soins de santé. Encore faudra-t-il, a regretté le chanteur, que ces humanitaires soient dans les localités concernées.
Le cas du Programme alimentaire mondiale est spécifique en ce sens qu'il fournit aux victimes de la crise centrafricaine des vivres de tous genres.
M. Ozaguin a signalé à ses interlocuteurs que l'intervention du Programme alimentaire mondiale ne couvre que les besoins d'environ 600.000 personnes, d'où son appel pour que les prises en charge alimentaires augmentent.
D'après un membre de la délégation joint par l'ACAP, M. Ozaguin s'est appesanti sur le grand nombre des Centrafricains qui ont besoin d'une assistance humanitaire intensive. Ils sont environ 4,8 millions à être menacés par l'insécurité alimentaire.
Pour étayer ses propos, M. Ozaguin a décrit les misérables conditions de vie des populations sur les nombreux sites de déplacés internes disséminés sur le territoire, lesquels déplacés sont incapables de vaquer librement à leurs activités ordinaires, comme par exemple se rendre dans les champs, aller à la pêche ou mener des activités de cueillette.
Sur les sites, a ajouté M. Ozaguin, les personnes déplacées dépendent littéralement de la bienfaisance des travailleurs humanitaires qui fournissent des vivres ou participent à des soins de santé. Encore faudra-t-il, a regretté le chanteur, que ces humanitaires soient dans les localités concernées.
Le cas du Programme alimentaire mondiale est spécifique en ce sens qu'il fournit aux victimes de la crise centrafricaine des vivres de tous genres.
M. Ozaguin a signalé à ses interlocuteurs que l'intervention du Programme alimentaire mondiale ne couvre que les besoins d'environ 600.000 personnes, d'où son appel pour que les prises en charge alimentaires augmentent.