L’enjeu de cette formation est de permettre aux participants d’être en mesure de détecter immédiatement tous les cas de paludisme au travers d’une confirmation parasitologique du diagnostic et assurer dans le même temps une prise en charge efficace de la pathologie.
Pour Dr Ndoua Christophe, ceux qui se chargent du traitement des cas cliniques de paludisme doivent par aileurs « formuler des principes et orientations pour assurer une prise en charge efficace des cas identifiés au regard des recommendations de l’Organisation Mondiale de Santé ».
Du fait que les conséquences du paludisme sont domageables sur le population, le Représentant du membredu gouvernement a insisté sur la capacité du persoennel soignant à participer à la réduction de la morbidité et de la mortalité liées à la pandémie et faire la part nette entre les cas du « paludisme simple » et « les formes plus sévères » qui ont pour conséquence l’anémie afin de réduire l’impact de l’infection paludéenne, par exemple chez les femmes enceintes et chez les nouveaux-nés.
Au regard des données statistiques, notamment l’enquête MICS 2010, la prévalence du paludisme chez les enfants de moins de 5 ans en 2004 était de 32,2 pour cent. C’est pourquoi, Dr Ndoua Christophe a interpellé les uns et les autres à « une attention particulière dans la prise en charge de la pathologie ».
Il faut rappeler que le processus d’appropriation des nouvelles directives de prise en charge du paludisme en République Centrafricaine a démarré par un atelier international organisé en novembre 2011, en partenariat avec l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
Sur le plan national, les directives internationales ont été à l’origine de l’élaboration en janvier 2013 d’un programme national de Lutte contre le paludisme contenant les directives nationales de prise en charge de la pathologie.
Pour Dr Ndoua Christophe, ceux qui se chargent du traitement des cas cliniques de paludisme doivent par aileurs « formuler des principes et orientations pour assurer une prise en charge efficace des cas identifiés au regard des recommendations de l’Organisation Mondiale de Santé ».
Du fait que les conséquences du paludisme sont domageables sur le population, le Représentant du membredu gouvernement a insisté sur la capacité du persoennel soignant à participer à la réduction de la morbidité et de la mortalité liées à la pandémie et faire la part nette entre les cas du « paludisme simple » et « les formes plus sévères » qui ont pour conséquence l’anémie afin de réduire l’impact de l’infection paludéenne, par exemple chez les femmes enceintes et chez les nouveaux-nés.
Au regard des données statistiques, notamment l’enquête MICS 2010, la prévalence du paludisme chez les enfants de moins de 5 ans en 2004 était de 32,2 pour cent. C’est pourquoi, Dr Ndoua Christophe a interpellé les uns et les autres à « une attention particulière dans la prise en charge de la pathologie ».
Il faut rappeler que le processus d’appropriation des nouvelles directives de prise en charge du paludisme en République Centrafricaine a démarré par un atelier international organisé en novembre 2011, en partenariat avec l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
Sur le plan national, les directives internationales ont été à l’origine de l’élaboration en janvier 2013 d’un programme national de Lutte contre le paludisme contenant les directives nationales de prise en charge de la pathologie.