Prenant la communauté internationale à témoin de ce qu'il a appelé "les conséquences prévisibles de la situation de la République Centrafricaine, l'ancien Premier ministre a exhorté ses compatriotes à se rassembler "en vue de mener la lutte pour une véritable libération, synonyme d’émancipation, d’espérance et de prospérité".
M. Koyambounou a toutefois réaffirmé sa volonté d'aller au Dialogue Politique Inclusif, invitant le gouvernement à faire en sorte que l'Accord Global de Paix conclu le 21 juin dernier à Libreville, au Gabon, puisse être signé par tous les groupes rebelles pour garantir le caractère inclusif de ce forum à venir.
« Nous ferons tout pour que le gouvernement puisse le faire de manière à ce que tous ces prérequis puissent être réunis », a-t-il conclu.
Il est à noter que l’Accord Global de Paix de Libreville n'a pas été signé le Front Démocratique du Peuple Centrafricain (FDPC) d’Abdoulaye Miskine, l’Union des Forces pour la République (UFR) de Florian Ndjadder.
M. Koyambounou a toutefois réaffirmé sa volonté d'aller au Dialogue Politique Inclusif, invitant le gouvernement à faire en sorte que l'Accord Global de Paix conclu le 21 juin dernier à Libreville, au Gabon, puisse être signé par tous les groupes rebelles pour garantir le caractère inclusif de ce forum à venir.
« Nous ferons tout pour que le gouvernement puisse le faire de manière à ce que tous ces prérequis puissent être réunis », a-t-il conclu.
Il est à noter que l’Accord Global de Paix de Libreville n'a pas été signé le Front Démocratique du Peuple Centrafricain (FDPC) d’Abdoulaye Miskine, l’Union des Forces pour la République (UFR) de Florian Ndjadder.