Photo de famille
Le président du mouvement «Bêafrika ti é kwè », Mahamat Khamoun, a expliqué que ledit mouvement est une Plate-forme d’action citoyenne dont le but est de "conquérir et de gérer le pouvoir, dans l’intérêt supérieur de la Nation et de chaque citoyen".
Il a justifié la création de ce nouveau mouvement par la période d’instabilité politique que la République centrafricaine a traversé pendant ces 30 dernières années, notamment la dernière qui a mis à mal la cohésion sociale et le vivre-ensemble.
C'est sur la base de cette conviction cardinale qu’il a décidé de créer le mouvement politique de masse, ouverte à toutes les sollicitations, a-t-il expliqué.
« Le Mouvement « Bêafrika Ti é Kwè » reste ouvert à tous les talents, à toutes les bonnes volontés, fatiguées des crises à répétition et décidées, véritablement, à changer le cours de l’histoire de notre pays, pour en faire un pays réconcilié avec ses valeurs, un pays stable, sécurisé et prospère », a souligné M. Khamoun.
« Ensemble, redressons notre pays ; oui, nous pouvons changer les choses ! », a-t-il lancé, estimant que la République centrafricaine doit, enfin, sortir de la servitude et de la misère si tous ses enfants se lèvent comme un seul homme et disent non à la division, à la haine et aux intérêts égoïstes.
Pour sa part, le directeur de cabinet du ministère de l’Administration du Territoire, David Gbéti, a indiqué que "le département a constaté un problème de leadership au niveau des partis politiques et que cela est dû à une absence de démocratie et de marketing politique".
"A l’intérieur des partis politiques, il n’y a pas de démocratie, la République centrafricaine demeurera dans la voie de l’inertie" .
La création de « Bêafrika Ti é Kwè » vient élargir le cercle des formations politiques centrafricaines forte de plus d'une centaine de partis et susceptible de s'agrandir avec la dissolution attendue des groupes armés signataires de l'accord politique pour la paix et la réconciliation du 6 février 2019.
Signé par le gouvernement avec 14 groupes armés sous l'égide de l'Union africaine et de l'Onu, l'accord du 6 février 2019 invite les groupes armés à "faire valoir toute revendication par des voies pacifiques, y compris, le cas échéant, en créant des organisations politiques".
Il a justifié la création de ce nouveau mouvement par la période d’instabilité politique que la République centrafricaine a traversé pendant ces 30 dernières années, notamment la dernière qui a mis à mal la cohésion sociale et le vivre-ensemble.
C'est sur la base de cette conviction cardinale qu’il a décidé de créer le mouvement politique de masse, ouverte à toutes les sollicitations, a-t-il expliqué.
« Le Mouvement « Bêafrika Ti é Kwè » reste ouvert à tous les talents, à toutes les bonnes volontés, fatiguées des crises à répétition et décidées, véritablement, à changer le cours de l’histoire de notre pays, pour en faire un pays réconcilié avec ses valeurs, un pays stable, sécurisé et prospère », a souligné M. Khamoun.
« Ensemble, redressons notre pays ; oui, nous pouvons changer les choses ! », a-t-il lancé, estimant que la République centrafricaine doit, enfin, sortir de la servitude et de la misère si tous ses enfants se lèvent comme un seul homme et disent non à la division, à la haine et aux intérêts égoïstes.
Pour sa part, le directeur de cabinet du ministère de l’Administration du Territoire, David Gbéti, a indiqué que "le département a constaté un problème de leadership au niveau des partis politiques et que cela est dû à une absence de démocratie et de marketing politique".
"A l’intérieur des partis politiques, il n’y a pas de démocratie, la République centrafricaine demeurera dans la voie de l’inertie" .
La création de « Bêafrika Ti é Kwè » vient élargir le cercle des formations politiques centrafricaines forte de plus d'une centaine de partis et susceptible de s'agrandir avec la dissolution attendue des groupes armés signataires de l'accord politique pour la paix et la réconciliation du 6 février 2019.
Signé par le gouvernement avec 14 groupes armés sous l'égide de l'Union africaine et de l'Onu, l'accord du 6 février 2019 invite les groupes armés à "faire valoir toute revendication par des voies pacifiques, y compris, le cas échéant, en créant des organisations politiques".