ministre de l'Agriculture Honoré Féizouré
Initié par le gouvernement, ce passage sur les ondes nationales va permettre à chaque membre du gouvernement de présenter la mise en oeuvre de la feuille de route de leur département depuis 2016 jusqu'à ce jour.
Le ministre Honoré Féizouré a mis en évidence trois aspects dès son arrivée à la tête du département de l’Agriculture et du Développement rural à savoir, l’environnement du travail, la réforme institutionnelle et les projets opérationnels.
En abordant l’aspect qui concerne l’environnement du travail, le ministre a relevé le problème de ressource humaine, qui était autour de 700 cadres, notamment les ingénieurs, les techniciens supérieurs, les techniciens et les assimilés. Un personnel qui était vieillissant.
« Avec l’appui du Président de la République et le chef du gouvernement, son département a pu intégrer 250 jeunes cadres en tenant compte du départ à la retraite. Cela a fait augmenter le nombre du personnel qui passe à 1.000 cadres et agents qui travaillent au sein du ministère», a manifesté Honoré Féizouré.
S’agissant des réformes institutionnelles, le membre du gouvernement a fait savoir qu’il y a plusieurs réformes institutionnelles. Il a souligné que la République Centrafricaine dispose sept (7) régions administratives dont trois (3) étaient dotées d’un dispositif de l’Agence Centrafricaine de Développement Agricole (ACDA). Avec l’intégration des jeunes cadres dans la fonction publique, l’ACDA reprend ses activités dans toutes les préfectures voire même les communes.
Le chef du département d’Agriculture a poursuivi que l’Institut Centrafricain de Recherche Agronomique (ICRA) était seulement cantonné dans un bureau à Bangui pendant la crise; aujourd’hui, le département compte cinq stations opérationnelles de recherche dans le pays, et dans chaque centre il y a environ 50 hectares mécanisés avec des tracteurs qui produisent des semences, ce qui n’existait pas avant 2016.
Selon lui, le gouvernement a injecté plus de deux milliards de F. CFA dans la filière coton pour payer les dettes, les achats des semences et autres matériels. « Pour la filière maïs, mon département travaille en partenariat avec la société HUSACA pour la mécanisation de cette filière », a ajouté Féizouré.
En ce qui concerne les projets, le chef du département de l’Agriculture a indiqué qu’il y a quatre projets qui sont opérationnels, avant ces projets n’existaient pas. C’est pendant les quatre années que le ministère a élaboré ledits projets qui assurent le retour des bailleurs de fonds.
« Il y a le projet du Fonds International du Développement Agricole (FIDA) installé dans l’ouest du pays, le projet de l’unité de gestion de la Banque Mondiale qui travaille dans la partie nord-ouest et une partie du centre du pays, le projet de la Banque Africaine de Développement (BAD) installé dans la partie sud-ouest et le dernier projet opérationnel, c’est le projet de la BADEAC qui travaille dans le centre du pays et une partie de Bangui et ses environs », a précisé le ministre Honoré Féizouré.
Il convient de signaler que le ministre Honoré Féizouré était accompagné dans cette communication de ses plus proches collaborateurs.
Le ministre Honoré Féizouré a mis en évidence trois aspects dès son arrivée à la tête du département de l’Agriculture et du Développement rural à savoir, l’environnement du travail, la réforme institutionnelle et les projets opérationnels.
En abordant l’aspect qui concerne l’environnement du travail, le ministre a relevé le problème de ressource humaine, qui était autour de 700 cadres, notamment les ingénieurs, les techniciens supérieurs, les techniciens et les assimilés. Un personnel qui était vieillissant.
« Avec l’appui du Président de la République et le chef du gouvernement, son département a pu intégrer 250 jeunes cadres en tenant compte du départ à la retraite. Cela a fait augmenter le nombre du personnel qui passe à 1.000 cadres et agents qui travaillent au sein du ministère», a manifesté Honoré Féizouré.
S’agissant des réformes institutionnelles, le membre du gouvernement a fait savoir qu’il y a plusieurs réformes institutionnelles. Il a souligné que la République Centrafricaine dispose sept (7) régions administratives dont trois (3) étaient dotées d’un dispositif de l’Agence Centrafricaine de Développement Agricole (ACDA). Avec l’intégration des jeunes cadres dans la fonction publique, l’ACDA reprend ses activités dans toutes les préfectures voire même les communes.
Le chef du département d’Agriculture a poursuivi que l’Institut Centrafricain de Recherche Agronomique (ICRA) était seulement cantonné dans un bureau à Bangui pendant la crise; aujourd’hui, le département compte cinq stations opérationnelles de recherche dans le pays, et dans chaque centre il y a environ 50 hectares mécanisés avec des tracteurs qui produisent des semences, ce qui n’existait pas avant 2016.
Selon lui, le gouvernement a injecté plus de deux milliards de F. CFA dans la filière coton pour payer les dettes, les achats des semences et autres matériels. « Pour la filière maïs, mon département travaille en partenariat avec la société HUSACA pour la mécanisation de cette filière », a ajouté Féizouré.
En ce qui concerne les projets, le chef du département de l’Agriculture a indiqué qu’il y a quatre projets qui sont opérationnels, avant ces projets n’existaient pas. C’est pendant les quatre années que le ministère a élaboré ledits projets qui assurent le retour des bailleurs de fonds.
« Il y a le projet du Fonds International du Développement Agricole (FIDA) installé dans l’ouest du pays, le projet de l’unité de gestion de la Banque Mondiale qui travaille dans la partie nord-ouest et une partie du centre du pays, le projet de la Banque Africaine de Développement (BAD) installé dans la partie sud-ouest et le dernier projet opérationnel, c’est le projet de la BADEAC qui travaille dans le centre du pays et une partie de Bangui et ses environs », a précisé le ministre Honoré Féizouré.
Il convient de signaler que le ministre Honoré Féizouré était accompagné dans cette communication de ses plus proches collaborateurs.