Créée en 2006 et reconnue par le ministère du Développement rural le 17 avril 2009, l’UPEDI a trois objectifs : sensibiliser et former les planteurs et les éléveurs sur la culture moderne, créer des fermes et des espaces d’élevage, promouvoir l’agriculture et la pisciculture à Zémio.
« C’est autour de ces trois objectifs principaux que se situe notre combat quotidien contre la faim », a expliqué le président de cette ONG.
Selon M. Yangariyo, la République Centrafricaine est un pays à vocation agricole, malheureusement « nombreux sont ceux qui ne veulent pas mettre en valeur l’ énorme potentialité et le sous-sol centrafricains ».
« Pour assurer l’autosuffisance alimentaire, le paysan ou l’homme rural doit nécessairement mettre en valeur la terre, malgré les moyens rudimentaires dont il dispose », a-t-il fait dit.
« Nous devons renforcer les capacités en matière de production et de distribution des produits de nos efforts, en vue d’éradiquer la famine et la pauvreté qui sont les Objectifs du millénaire pour le développemnt (OMD) d’ici à 2015 », a-t-il fait remarquer.
M. Yangariyo par ailleurs exprimé sa préoccupation sur le fait que les produits cultivés par l’UPEDI, notamment le manioc, le maïs et le riz ne sont pas achetés à cause des troubles dans la régions, faisant allusion à la présence des éléments de la LRA de Joseph Kony dans l’Est du pays qui constitue selon lui, « un danger pour l’ONG ».
« Car ni les acheteurs, ni les investisseurs étrangers n’aiment le bruit de bottes », a conclu M. Michel Yangariyo.
Signalons que l’UPEDI est une ONG située dans le village Bouma à 15 km entre Rafaï et Zémio dans le Haut Mbomou à l’Est de la République Centrafricaine. Elle compte une trentaine d’adhérents qui ont mis en valeur 3 ha de maïs, 2 ha de riz et 5 ha de manioc, produits de base des Centrafricains.
« C’est autour de ces trois objectifs principaux que se situe notre combat quotidien contre la faim », a expliqué le président de cette ONG.
Selon M. Yangariyo, la République Centrafricaine est un pays à vocation agricole, malheureusement « nombreux sont ceux qui ne veulent pas mettre en valeur l’ énorme potentialité et le sous-sol centrafricains ».
« Pour assurer l’autosuffisance alimentaire, le paysan ou l’homme rural doit nécessairement mettre en valeur la terre, malgré les moyens rudimentaires dont il dispose », a-t-il fait dit.
« Nous devons renforcer les capacités en matière de production et de distribution des produits de nos efforts, en vue d’éradiquer la famine et la pauvreté qui sont les Objectifs du millénaire pour le développemnt (OMD) d’ici à 2015 », a-t-il fait remarquer.
M. Yangariyo par ailleurs exprimé sa préoccupation sur le fait que les produits cultivés par l’UPEDI, notamment le manioc, le maïs et le riz ne sont pas achetés à cause des troubles dans la régions, faisant allusion à la présence des éléments de la LRA de Joseph Kony dans l’Est du pays qui constitue selon lui, « un danger pour l’ONG ».
« Car ni les acheteurs, ni les investisseurs étrangers n’aiment le bruit de bottes », a conclu M. Michel Yangariyo.
Signalons que l’UPEDI est une ONG située dans le village Bouma à 15 km entre Rafaï et Zémio dans le Haut Mbomou à l’Est de la République Centrafricaine. Elle compte une trentaine d’adhérents qui ont mis en valeur 3 ha de maïs, 2 ha de riz et 5 ha de manioc, produits de base des Centrafricains.