« Les réfugiés Soudanais du Darfour sont arrivés à Sam Ouandja depuis 2007. Mais au cours des deux dernières années, explique Aminata Gueye, Représentante de l’UNHCR en République Centrafricaine, la dégradation de la situation sécuritaire dans la zone a entravé de manière significative la protection et l’assistance que l’UNHCR et ses partenaires peuvent apporter à quelques 3,500 réfugiés installés dans le camp de Sam Ouandja ».
Le Communiqué a rappelé que sur instruction du Bureau des Nations Unies, l’UNHCR qui avait ouvert un bureau à Sam Ouandja en 2007, a du le fermer l’année d’après. »Depuis seules les ONGs sont restées sur place, le personnel de l’UNHCR n’effectuant que des visites régulières d’une semaine maximum », a poursuivi la Représentante de l’UNHCR dans le communiqué.
« Hormis l’insécurité, les contraintes logistiques, notamment le mauvais état des routes, limite considérablement l’approvisionnement des réfugiés du camp de Sam Ouandja. En effet « il faut compter 2 à 3 mois pour acheminer les vivres au camp de Sam Ouandja par la route », a précisé la Représentante dans le communiqué.
« Avec une capacité d’accueil de 7000 personnes, le nouveau site de Pladama Ouaka est situé à 7 kilomètres de Bambari et environ 400 kilomètres de Bangui. Contrairement à Sam Ouandja , ce site offre l’avantage d’être facilement accessible à partir de Bangui. Les réfugiés s’y sentiront beaucoup plus en sécurité et pourront mener librement des activités d’autosuffisance. Par ailleurs, les acteurs humanitaires, notamment le Programme Alimentaire Mondial(PAM) pourra facilement y acheminer l’assistance ; ce qui constitue jusqu’ici un véritable parcours de combattant car il faut compter 2 à 3 mois pour acheminer les vivres à Sam Ouandja », a souligné la Représentante de l’UNHCR dans le Communiqué.
« Compte tenu des contraintes sécuritaires et l’état des routes, le transfert des réfugiés se fera par voie aérienne. Deux avions seront affrétés pour cette opération et effectueront 4 vols par jour. Dès leur arrivée sur le nouveau site, les réfugiés seront installés provisoirement dans un centre de transit avant leur installation définitive dans leurs abris qu’ils auront construits eux-mêmes », a signifié le communiqué.
« En République Centrafricaine, l’UNHCR assure protection et assistance de quelques 25000 réfugiés et environ 192,000 personnes déplacées internes », a conclu le Communiqué.
Le Communiqué a rappelé que sur instruction du Bureau des Nations Unies, l’UNHCR qui avait ouvert un bureau à Sam Ouandja en 2007, a du le fermer l’année d’après. »Depuis seules les ONGs sont restées sur place, le personnel de l’UNHCR n’effectuant que des visites régulières d’une semaine maximum », a poursuivi la Représentante de l’UNHCR dans le communiqué.
« Hormis l’insécurité, les contraintes logistiques, notamment le mauvais état des routes, limite considérablement l’approvisionnement des réfugiés du camp de Sam Ouandja. En effet « il faut compter 2 à 3 mois pour acheminer les vivres au camp de Sam Ouandja par la route », a précisé la Représentante dans le communiqué.
« Avec une capacité d’accueil de 7000 personnes, le nouveau site de Pladama Ouaka est situé à 7 kilomètres de Bambari et environ 400 kilomètres de Bangui. Contrairement à Sam Ouandja , ce site offre l’avantage d’être facilement accessible à partir de Bangui. Les réfugiés s’y sentiront beaucoup plus en sécurité et pourront mener librement des activités d’autosuffisance. Par ailleurs, les acteurs humanitaires, notamment le Programme Alimentaire Mondial(PAM) pourra facilement y acheminer l’assistance ; ce qui constitue jusqu’ici un véritable parcours de combattant car il faut compter 2 à 3 mois pour acheminer les vivres à Sam Ouandja », a souligné la Représentante de l’UNHCR dans le Communiqué.
« Compte tenu des contraintes sécuritaires et l’état des routes, le transfert des réfugiés se fera par voie aérienne. Deux avions seront affrétés pour cette opération et effectueront 4 vols par jour. Dès leur arrivée sur le nouveau site, les réfugiés seront installés provisoirement dans un centre de transit avant leur installation définitive dans leurs abris qu’ils auront construits eux-mêmes », a signifié le communiqué.
« En République Centrafricaine, l’UNHCR assure protection et assistance de quelques 25000 réfugiés et environ 192,000 personnes déplacées internes », a conclu le Communiqué.