
Le but de cette réunion est d’échanger avec les responsables des ONG nationales, internationales et les partenaires sur les critères d’identification et de ciblage des ménages en vue de mettre à disposition des semences et outils pour une mise en œuvre opérationnelle de certaines cultures vivrières en vue d’assurer la couverture des besoins alimentaires, a indiqué Alain Constant.
Il a rappelé que la population centrafricaine souffre depuis quelques mois de l’insécurité alimentaire. C’est au regard de cette situation que la FAO a fait un plaidoyer auprès des bailleurs de Fonds pour tenter de couvrir au mieux ces besoins alimentaires.
Le Chargé de programme à la FAO, Etienne Ngounio Gabia, a quant à lui relevé qu’en dépit des progrès réalisés pour l’apaisement du climat sociopolitique et un optimisme pour la sortie de crise et de l’assistance humanitaire, la recrudescence des conflits entre les groupes armés a considérablement ralenti la marche vers le relèvement.
« Selon les données du Bureau de Coordination des Affaires humanitaires(OCHA), la montée de l’insécurité dans le Centre Nord- Ouest du pays a entrainé de nouveaux déplacements forcés de 384 884 Personnes (déplacées internes) et la reprise de l'exode et des flux migratoires avec plus de 467.960 réfugiés. On estime à 2.2 millions de personnes en besoin d’assistance humanitaire sur le territoire national, dont 2 millions de personnes en insécurité alimentaire », a-t-il souligné.
Il a noté que contrairement au retard observé dans le financement du développement, l’aide humanitaire se raréfie. C’est dans ce contexte de crise prolongée et complexe, caractérisée par une forte vulnérabilité à la malnutrition et à l'insécurité alimentaire, que la FAO s’est employée à apporter une assistance soutenue à 133 000 ménages agricoles (vivriers et maraichers), un peu plus que l’année passée (95000 ménages).
Il a saisi l’opportunité pour saluer l’engagement des partenaires, notamment l’Union Européenne (ECHO), les Américains (OFDA), les Anglais (DFID) et les Nations-Unies (OCHA), lesquels poursuivent leur assistance auprès des groupes vulnérables (déplacés internes et réfugiés).
« Le devoir humanitaire nous interpelle et nous devons poursuivre nos efforts pour répondre aux besoins humanitaires à savoir : apporter le sourire aux Centrafricains en détresse grâce aux distributions de kits agricoles (vivriers et maraichers) », a indiqué Etienne Ngounio.
Il a précisé que sur un objectif de 13 300 ménages, la FAO a mobilisé les ressources nécessaires pour en soutenir environ 7240.
Il a exhorté les représentants des ONG à relever le défi afin de rassurer les bailleurs de Fonds qui font confiance.
Il a rappelé que la population centrafricaine souffre depuis quelques mois de l’insécurité alimentaire. C’est au regard de cette situation que la FAO a fait un plaidoyer auprès des bailleurs de Fonds pour tenter de couvrir au mieux ces besoins alimentaires.
Le Chargé de programme à la FAO, Etienne Ngounio Gabia, a quant à lui relevé qu’en dépit des progrès réalisés pour l’apaisement du climat sociopolitique et un optimisme pour la sortie de crise et de l’assistance humanitaire, la recrudescence des conflits entre les groupes armés a considérablement ralenti la marche vers le relèvement.
« Selon les données du Bureau de Coordination des Affaires humanitaires(OCHA), la montée de l’insécurité dans le Centre Nord- Ouest du pays a entrainé de nouveaux déplacements forcés de 384 884 Personnes (déplacées internes) et la reprise de l'exode et des flux migratoires avec plus de 467.960 réfugiés. On estime à 2.2 millions de personnes en besoin d’assistance humanitaire sur le territoire national, dont 2 millions de personnes en insécurité alimentaire », a-t-il souligné.
Il a noté que contrairement au retard observé dans le financement du développement, l’aide humanitaire se raréfie. C’est dans ce contexte de crise prolongée et complexe, caractérisée par une forte vulnérabilité à la malnutrition et à l'insécurité alimentaire, que la FAO s’est employée à apporter une assistance soutenue à 133 000 ménages agricoles (vivriers et maraichers), un peu plus que l’année passée (95000 ménages).
Il a saisi l’opportunité pour saluer l’engagement des partenaires, notamment l’Union Européenne (ECHO), les Américains (OFDA), les Anglais (DFID) et les Nations-Unies (OCHA), lesquels poursuivent leur assistance auprès des groupes vulnérables (déplacés internes et réfugiés).
« Le devoir humanitaire nous interpelle et nous devons poursuivre nos efforts pour répondre aux besoins humanitaires à savoir : apporter le sourire aux Centrafricains en détresse grâce aux distributions de kits agricoles (vivriers et maraichers) », a indiqué Etienne Ngounio.
Il a précisé que sur un objectif de 13 300 ménages, la FAO a mobilisé les ressources nécessaires pour en soutenir environ 7240.
Il a exhorté les représentants des ONG à relever le défi afin de rassurer les bailleurs de Fonds qui font confiance.