Dans un communiqué de presse publié mardi à Bangui, le chef du Bureau de l'Onu en Centrafrique (Bonuca) considère que "la crise politique actuelle est de nature à compromettre les acquis des efforts de paix et de réconciliation dans le pays d’une part et, d’autre part, à remettre en cause la tenue d’un dialogue politique inclusif".
C'est pourquoi il "en appelle, de nouveau, en la généreuse médiation du Président du Comité Ad Hoc de l’espace CEMAC pour les questions centrafricaine, son Excellence El Adj Omar Bongo Ondimba, pour aider la République Centrafricaine à surmonter cette phase critique et permettre ainsi, la réalisation des objectifs de paix et de réconciliation dans ce pays".
Il a, par ailleurs a réitéré "sa volonté de poursuivre tous les efforts nécessaires avec les autres facilitateurs internationaux, pour la restauration d’une paix durable en République Centrafricaine et la tenue du Dialogue politique inclusif, souhaité par tout le peuple centrafricain".
Il est à signaler que peu après l’ouverture, le 1er août dernier, d'une session extraordinaire censée examiner trois projets de loi d’amnistie proposé par le gouvernement, préalable à la tenue du dialogue politique inclusif, les partis d’opposition, l’Armée Populaire pour la Restauration de la Démocratie (APRD), le Front Démocratique du Peuple Centrafricain (FDPC) et l’Union des Forces Républicaines (UFR) ont exprimé leur désaccord à l’égard de ces textes et décidé de suspendre leur participation au processus du dialogue.
L'Union des forces vives de la Nation (Ufvn), qui regroupe 5 formations d'opposition reproche aux textes d'exclure « de fait les responsables politiques et les responsables des rébellions pour les actes commis avant le 15 mars 2003 », date de l'accession au pouvoir du général Bozizé, et d'envisager « l’amnistie des éléments tristement célèbres de sa garde prétorienne ».
C'est pourquoi il "en appelle, de nouveau, en la généreuse médiation du Président du Comité Ad Hoc de l’espace CEMAC pour les questions centrafricaine, son Excellence El Adj Omar Bongo Ondimba, pour aider la République Centrafricaine à surmonter cette phase critique et permettre ainsi, la réalisation des objectifs de paix et de réconciliation dans ce pays".
Il a, par ailleurs a réitéré "sa volonté de poursuivre tous les efforts nécessaires avec les autres facilitateurs internationaux, pour la restauration d’une paix durable en République Centrafricaine et la tenue du Dialogue politique inclusif, souhaité par tout le peuple centrafricain".
Il est à signaler que peu après l’ouverture, le 1er août dernier, d'une session extraordinaire censée examiner trois projets de loi d’amnistie proposé par le gouvernement, préalable à la tenue du dialogue politique inclusif, les partis d’opposition, l’Armée Populaire pour la Restauration de la Démocratie (APRD), le Front Démocratique du Peuple Centrafricain (FDPC) et l’Union des Forces Républicaines (UFR) ont exprimé leur désaccord à l’égard de ces textes et décidé de suspendre leur participation au processus du dialogue.
L'Union des forces vives de la Nation (Ufvn), qui regroupe 5 formations d'opposition reproche aux textes d'exclure « de fait les responsables politiques et les responsables des rébellions pour les actes commis avant le 15 mars 2003 », date de l'accession au pouvoir du général Bozizé, et d'envisager « l’amnistie des éléments tristement célèbres de sa garde prétorienne ».