Ce document de 16 pages a été adopté lors de la troisième journée de la conférence de l'ONU sur la crise et son impact sur le développement.
Le document, produit de négociations intensives entre les pays développés et en développement avant l'ouverture de la réunion, a reconnu que "le monde fait face à la pire crise financière et économique depuis la Grande Dépression".
La crise s'est propagée à travers l'économie mondiale, avec des conséquences sociales, politiques et économiques très dures, note le document.
Il souligne que la plupart des pays en développement ne possèdent pas de ressources financières suffisantes pour faire face à la crise et qu'ils ont besoin de plus d'aide de la communauté internationale.
Citant la note du sommet du G20 tenu en avril à Londres, qui avait promis 1.100 milliards de dollars pour relancer l'économie mondiale, le texte appelle le G20 à considérer davantage les besoins financiers des pays en développement, surtout des pays aux revenus faibles.
Le texte prône également une réglementation et une supervision plus strictes à l'égard de tous les grands centres financiers et des produits financiers.
Quant à la réforme financière, le document indique qu'un consensus a été trouvé sur la necessité d'une réforme continue et d'une modernisation des institutions financières internationales.
"Les réformes doivent refléter la réalité et doivent renforcer les perspectives, la voix et la participation des marchés émergents dynamiques et des pays en développement, y compris les pays les plus pauvres", conclut le document.
Le document, produit de négociations intensives entre les pays développés et en développement avant l'ouverture de la réunion, a reconnu que "le monde fait face à la pire crise financière et économique depuis la Grande Dépression".
La crise s'est propagée à travers l'économie mondiale, avec des conséquences sociales, politiques et économiques très dures, note le document.
Il souligne que la plupart des pays en développement ne possèdent pas de ressources financières suffisantes pour faire face à la crise et qu'ils ont besoin de plus d'aide de la communauté internationale.
Citant la note du sommet du G20 tenu en avril à Londres, qui avait promis 1.100 milliards de dollars pour relancer l'économie mondiale, le texte appelle le G20 à considérer davantage les besoins financiers des pays en développement, surtout des pays aux revenus faibles.
Le texte prône également une réglementation et une supervision plus strictes à l'égard de tous les grands centres financiers et des produits financiers.
Quant à la réforme financière, le document indique qu'un consensus a été trouvé sur la necessité d'une réforme continue et d'une modernisation des institutions financières internationales.
"Les réformes doivent refléter la réalité et doivent renforcer les perspectives, la voix et la participation des marchés émergents dynamiques et des pays en développement, y compris les pays les plus pauvres", conclut le document.